Les contrôles judiciaires de la sécurité d'un Syrien avec un passeport turc
Un Syrien de 62 ans est jugé à Eisenstadt, accusant la réclamation illégale de 197 340 euros de sécurité minimale sur dix ans. La question de la citoyenneté soulève des doutes centraux.
Les contrôles judiciaires de la sécurité d'un Syrien avec un passeport turc
Un homme de 62 ans de Syrie est en cour d'Eisenstadt, où il est accusé d'avoir reçu des prestations sociales d'un montant de 197 340 sur une période de dix ans. La procédure a été annoncée après qu'un passeport turc de l'accusé a été découvert, ce qui a soulevé des questions sur sa nationalité et a conduit à l'examen de son statut d'asile par le Federal Office of Foreign Affairs and Asylum (BFA).
L'accusé a fui la Syrie en 2013 pour échapper à la guerre civile et a reçu des prestations minimales de sécurité et d'assurance maladie depuis août 2014. Lors de la négociation, il a stocké son point de vue qu'il avait droit à ce soutien en raison de son statut d'asile. Il a déclaré qu'il avait correctement déclaré sa nationalité dans la demande, mais le procureur l'accuse d'avoir donné des informations incomplètes sur sa citoyenneté turque.
Contexte et cours du processus
Le procès a commencé après que le passeport turc de l'accusé a été découvert, qui a ensuite soulevé des doutes sur sa citoyenneté. L'homme syrien, qui avait exploité un magasin dans son pays d'origine dans le passé, était initialement logé dans un centre de réception initial avant d'être transféré dans un logement réfugié à Burgenland.
L'homme de 62 ans a déclaré devant le tribunal: "J'ai été persécuté, comme tous les autres Syriens qui sont venus ici. J'ai cherché l'asile et j'ai obtenu ce soutien." D'août 2014 à janvier 2024, il a reçu des paiements mensuels pouvant atteindre 1 400 euros et est donc tombé sous la protection du système social autrichien.
Citoyenneté et questions juridiques
L'objectif de la procédure est de savoir si l'accusé a fait toutes les informations nécessaires sur ses nationalités lors de la demande de services sociaux. Les fabricants d'origine douteuse pourraient également être sa mère, car cela a la citoyenneté syrienne et turque. L'homme a souligné qu'il n'avait jamais été informé qu'il devait énoncer toutes ses nationalités.
L'avocat de la défense du défendeur déclare qu'il a un permis de séjour légal en Autriche et bénéficiait d'une protection des filiales. De plus, elle a déjà déposé une plainte contre la révocation du statut d'asile. Le juge joue un rôle crucial car il veut attendre le résultat de cette procédure avant de prendre une décision.
En cas de condamnation, l'accusé menace une peine de prison pouvant aller jusqu'à trois ans. Le processus a été initialement reporté pour attendre le résultat de la procédure de droit étrangère en cours. Si nécessaire, un employé de l'administration du district, qui était responsable de la demande initiale de sécurité minimale, pourrait éventuellement fournir des informations supplémentaires. Cette procédure soulève des questions juridiques importantes et est étroitement accompagnée, tandis que les détails sur la citoyenneté et la situation de combat de l'accusé sont discutés plus en détail.
Pour plus d'informations sur cette affaire et les aspects juridiques associés, un rapport détaillé peut être trouvé www.kosmo.at être lu.