Plakolm quitte un cours dur: l'intégration sans volonté!

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Le ministre de l'intégration Plakolm annonce de nouvelles mesures d'intégration et de réduction de l'aide aux Ukrainiens en Autriche.

Integrationsministerin Plakolm kündigt neue Maßnahmen zur Integration und Beihilfenreduzierung für Ukrainer in Österreich an.
Le ministre de l'intégration Plakolm annonce de nouvelles mesures d'intégration et de réduction de l'aide aux Ukrainiens en Autriche.

Plakolm quitte un cours dur: l'intégration sans volonté!

Le ministre de l'intégration, Claudia Plakolm (ÖVP), a annoncé un changement cohérent de la politique d'intégration. À l'avenir, la volonté d'intégrer jouera un rôle central dans l'octroi de l'aide. En particulier, l'allocation familiale pour les personnes déplacées d'Ukraine sera à l'avenir liée à la volonté de travailler, comme [l'OE24] rapporte. Cette mesure entre en vigueur à partir de novembre 2025. Les familles ukrainiennes affectées pourraient entraîner des pertes financières considérables. Marion Bock, porte-parole de l'association "Styria aide", prévient que de nombreuses familles pourraient tomber en dessous de la frontière de la pauvreté. Une mère ukrainienne avec deux enfants n'aurait que 213 euros par mois.

Les familles avec enfants handicapés sont particulièrement touchées, car elles bénéficiaient auparavant d'allocations familiales majorées et devraient désormais recevoir 400 euros de moins par mois. Cela a déjà conduit certaines familles à envisager de retourner en Ukraine, comme le rapporte [kosmo.at]. Le ministre de l'Intégration souligne que la responsabilité personnelle doit être renforcée et que l'intégration est une nécessité. Les personnes déplacées d’Ukraine ont droit aux allocations familiales jusqu’au 31 octobre 2025. Toutefois, des innovations sont en cours de négociation pour la période suivante.

Programmes et sanctions d'intégration obligatoires

Un élément clé du plan de Plakolm est un programme d'intégration obligatoire de trois ans qui sera introduit parallèlement à la réforme de la protection sociale. Les demandeurs d'asile ayant une forte probabilité de rester ainsi que les personnes bénéficiant d'une protection subsidiaire et les personnes déplacées seront concernés par cette réglementation. Si vous manquez des cours sans excuse ou si vous ne vous présentez pas à l'agence pour l'emploi (AMS), votre allocation d'intégration pourra être réduite. Ces mesures sont nécessaires pour contrecarrer la baisse du nombre de demandeurs d'asile et les problèmes liés aux nombreuses places de cours vides, selon [oe24].

De plus, Plakolm prévoit une interdiction du foulard pour les filles de moins de 14 ans dans les écoles, ce qui est considéré comme une question de protection de l'enfance. Les réglementations spécifiques devraient entrer en vigueur en automne. Des mesures d'accompagnement pour les filles affectées et les discussions avec les parents sont prévues, mais les sanctions pour ne pas retirer le foulard sont toujours en réglage.

Intégration des membres de la famille Suivi

Un autre défi dans la politique d'intégration est suivi par les membres de la famille, comme le montre une étude du Fonds d'intégration autrichien (ÖIF). Ce groupe a généralement plus de difficultés à intégrer que les demandeurs d'asile directs. L'étude montre que 70% des membres de la famille qui ont suivi sont des femmes et beaucoup d'entre eux vivent avec des enfants mineurs. Par rapport aux réfugiés directement applicables, ils sont moins courants et participent également à des cours allemands. Plakolm voit dans ces résultats une confirmation de leur politique d'intégration, car le chancelier Christian Stocker considère l'arrêt de la réunification de la famille comme étape nécessaire pour empêcher la surcharge des systèmes, rapporte [orf.at].

Plakolm prévoit également une manipulation européenne plus forte en termes de contrôle d'âge pour les plateformes de médias sociaux. Ici, elle voit la nécessité d'une approche uniforme au niveau européen et de se concentrer sur la sécurité des enfants et des adolescents.

En résumé, cela montre que le gouvernement réagit aux défis actuels de la politique d'intégration avec plusieurs mesures. L'accent mis sur la responsabilité personnelle et l'introduction de programmes obligatoires devraient favoriser l'intégration et rendre le soutien aux personnes déplacées plus efficaces.

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