Loi martiale en Corée du Sud : le président Yoon déclare l'état d'urgence !

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Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol déclare la loi martiale pour lutter contre les forces pro-nord-coréennes. Qu’est-ce que cela signifie pour la démocratie ?

Loi martiale en Corée du Sud : le président Yoon déclare l'état d'urgence !

Dans un revirement dramatique, le président sud-coréen Yoon Suk Yeol a déclaré la loi martiale mardi soir ! D'un air sérieux, il a expliqué que l'opposition coopérait avec l'ennemi de la Corée du Nord et qu'il était déterminé à éliminer les forces pro-nord-coréennes pour protéger l'ordre constitutionnel libre. Cette décision a des conséquences immédiates et profondes pour le pays !

L’armée dispose désormais de pouvoirs étendus, la juridiction est restreinte et les droits fondamentaux tels que la liberté de la presse, la liberté d’expression et la liberté de réunion sont menacés. Les manifestations et activités politiques sont désormais interdites ! Pour assurer son pouvoir, Yoon a fait boucler le bâtiment du Parlement par la police afin d'empêcher toute contre-mesure. Mais les députés ont refusé de se laisser intimider et ont appelé à la levée de l'état d'urgence à minuit – un défi que Yoon a initialement ignoré !

Troubles politiques et tensions internationales

La situation dans la péninsule coréenne est explosive ! La guerre de Corée de 1950 à 1953 ne s'est jamais terminée par un traité de paix et les tensions entre la Corée du Nord et la Corée du Sud sont à un niveau sans précédent. Kim Jong Un a récemment déclaré que la Corée du Sud était officiellement considérée comme un « État hostile » alors qu'il préparait son armée à une éventuelle guerre. Les relations entre les deux pays restent tendues, en particulier après l'attaque russe contre l'Ukraine, qui a donné à Kim l'occasion de s'allier diplomatiquement avec Poutine.

Yoon, considéré comme controversé et souvent qualifié de « Trump de la Corée du Sud », est sous pression. Sa décision de fournir des armes à l’Ukraine est impopulaire dans le pays, et l’opposition libérale impute la menace accrue à sa politique agressive. Les observateurs avertissent que la démocratie en Corée du Sud pourrait être menacée, car l'incertitude quant aux développements futurs laisse la population craintive.

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