Changement climatique : Comment l’Afrique forme un front uni contre la sécheresse !
La conférence COP16 met en lumière les progrès réalisés dans la lutte mondiale contre la sécheresse alors que les pays africains espèrent un protocole contraignant.

Changement climatique : Comment l’Afrique forme un front uni contre la sécheresse !
La Conférence des Nations Unies sur la sécurité dans le désert s'est terminée sans l'accord contraignant espéré pour lutter contre la sécheresse. Les pays africains espéraient des progrès sous la forme d’un protocole obligatoire pour garantir que les gouvernements assument la responsabilité des mesures préventives. Les États ont fait des « progrès significatifs » mais seul un accord-cadre a été promis, ce que beaucoup considèrent comme insuffisant Petit journal signalé. La conférence a lieu alors que les sécheresses augmentent considérablement dans le monde. Selon l'ONU, les épisodes de sécheresse ont augmenté de 29 pour cent depuis 2000.
L’impact financier de la sécheresse est stupéfiant : à l’échelle mondiale, elle coûte plus de 300 milliards de dollars chaque année. Les prévisions de l'ONU montrent que 75 pour cent de la population mondiale sera touchée par la sécheresse d'ici 2050. Cela pourrait avoir des conséquences catastrophiques sur la production alimentaire et l'approvisionnement énergétique. Des rapports récents montrent que 2024 pourrait être l’année la plus chaude jamais enregistrée jusqu’à présent, avec des sécheresses dévastatrices en Méditerranée, au Brésil, au Maroc et au Malawi. Cette sécheresse extrême a déjà entraîné des pénuries d'eau et de nourriture, et la situation est alarmante quant à la façon dont Miroir signalé.
Défis mondiaux
Les sécheresses sont exacerbées par l’impact humain lié au changement climatique, entraînant non seulement des coûts économiques mais aussi des problèmes sociaux et environnementaux. Les participants à la conférence ont critiqué les pays développés pour avoir rejeté un protocole strict et recherché uniquement un vague accord-cadre. La pression sur la communauté internationale s’accroît, d’autant plus que la situation dans de nombreuses régions touchées devient de plus en plus critique. Les négociations se poursuivront dans l’espoir de réaliser des progrès plus significatifs lors de la prochaine réunion en Mongolie en 2026.