Budapest Pride Ban: le maire prévoit une action de résistance courageuse!
Le gouvernement de la Hongrie interdit le défilé de Budapest Pride tandis que le maire Karacony se bat pour la mise en œuvre. Les manifestations brûlent.

Budapest Pride Ban: le maire prévoit une action de résistance courageuse!
L'interdiction du défilé de Budapest Pride, qui a été prévue pour le 28 juin, a provoqué une sensation à l'échelle internationale et a provoqué des manifestations. Le gouvernement hongrois s'appuie sur un récent changement constitutionnel qui a été introduit sous le prétexte de la protection de l'enfance. Cette interdiction vise en particulier les réunions dans lesquelles des modes de vie non hétérosexuels sont rendus visibles. Selon un rapport du Kleine Zeitung Planter le maire budapest gergely karacony to to to exploite the kar.
Le défilé de la fierté a une longue tradition à Budapest et a lieu depuis 30 ans. Cet événement est une occasion importante pour démontrer les droits des personnes LGBTQ. Sous le gouvernement de Viktor Orban, qui est arrivé au pouvoir en 2010, les conditions des minorités sexuelles ont considérablement aggravé. Orban est accusé d'avoir appliqué des méthodes autocratiques et fortement discriminant les droits des homosexuels, des transsexuels et d'autres minorités.
Réactions politiques et résistance
La décision d'interdire le défilé de la fierté n'était que trois jours après l'annonce de l'administration de la ville, l'organisation. Le maire Karacony explique qu'aucune approbation officielle n'est nécessaire pour le défilé car il s'agissait d'un événement urbain. Le gouvernement hongrois a pris de nombreuses mesures ces dernières années qui restreignent les droits de la communauté LGBTQ. En mars 2025, un changement de loi a été adopté qui visait explicitement une interdiction de la parade de la fierté en interdisant les réunions qui violent la loi hongroise LGBTQ.
La loi LGBTQ de 2021 a introduit des lois qui interdisent les représentations de l'homosexualité des mineurs. Ces réglementations draconiennes ont déjà conduit à des manifestations en Hongrie, dans lesquelles des milliers de personnes ont descendu dans la rue pour leurs droits.
Concern international et réaction de l'UE
Les incidents en Hongrie ont également déclenché une préoccupation internationale. L'Allemagne et 16 autres pays de l'UE ont exprimé leurs préoccupations concernant les nouvelles lois contre le sexe et les minorités sexuelles. La pression sur le gouvernement hongrois augmente, en particulier de la part de la Commission de l'UE, qui voit et menace de violer les mesures juridiques, ne devrait pas réviser ses lois.
Les changements prévus dans la loi incluent également des amendes pour les organisateurs de la fierté et discutent de l'utilisation de la reconnaissance automatique automatique lors de tels événements. Surtout, le risque de liberté d'expression, de liberté d'assemblage et de protection des données est au centre. Si la pression ne se calment pas, il pourrait y avoir un retrait des droits de vote pour la Hongrie au niveau de l'UE, voir l'article 7 du traité de l'UE, qui peut être utilisé en violations graves de l'état de droit.
Tagesschau rapporte que le ministre européen de la Hongrie, Janos Boka, rejette les allégations d'une fierté Bereabout. Le gouvernement hongrois prévoit également des restrictions pour les organisations civiles étrangères financées, ce qui pourrait entraîner des tensions supplémentaires avec l'UE.
Dans un pays dans lequel de nombreux citoyens souffrent de la pauvreté et de la corruption croissants et augmentent l'inflation, Viktor orban blâme l'UE. Cela illustre les défis politiques et sociaux complexes auxquels la Hongrie est actuellement confrontée. Il reste à voir comment la situation se développera et si le défilé de la fierté peut avoir lieu comme prévu.