Du chocolat au parfum de Dubaï : un différend éclate sur l'appellation d'origine !
Battage médiatique autour du chocolat de Dubaï : différend sur l'origine et publicité trompeuse - des poursuites judiciaires sont menacées contre les produits copiés.

Du chocolat au parfum de Dubaï : un différend éclate sur l'appellation d'origine !
Un énorme conflit se prépare : le très convoité « chocolat de Dubaï », actuellement célébré comme une tendance sur les réseaux sociaux, est au centre de litiges juridiques. Andreas Wilmers, directeur général d'Alina Wilmers Verwaltungs GmbH, exige que seuls les chocolats provenant effectivement des Émirats arabes unis puissent porter le nom de « chocolat de Dubaï ». Il est convaincu que l'utilisation de ce terme par d'autres fabricants, comme Lindt, est trompeuse. "Selon notre avocat spécialisé en marques, le terme "chocolat de Dubaï" ne peut être utilisé que pour des produits provenant réellement de Dubaï", a déclaré Wilmers dans une interview. Couronne.at.
Le battage médiatique sur la douce tentation
Mais qu’est-ce qui rend ce chocolat si spécial ? Le « Chocolat Dubaï » impressionne par son fourrage à base de crème de pistache et de kadayif, un fil de pâte frit qui lui confère une texture unique. Ce produit est devenu un véritable succès ces derniers mois, notamment auprès des influenceurs de TikTok qui célèbrent cette délicatesse chocolatée avec une touche typiquement arabe. En fait, vous pourriez payer jusqu'à 15 euros pour une barre, ce qui ferait de cette friandise une friandise coûteuse, comme Pharmacie regarde autour de toi signalé. Le mélange de pâte croustillante et de garniture à la pistache le distingue des autres chocolats et offre un régal visuel une fois ouvert.
La question est encore compliquée par le fait que Lidl envisage également de vendre un « chocolat de Dubaï » sous sa marque, même si les principaux ingrédients ne proviennent pas de Dubaï. Wilmers est convaincu que la base juridique de la concurrence déloyale existe. Si Lindt ne publie pas de déclaration de cessation et d'abstention avant le 19 décembre, il existe un risque de poursuites judiciaires, explique Wilmers. Parallèlement, le débat sur la préparation et les bienfaits du « chocolat de Dubaï » pour la santé ne passe pas inaperçu, car le chocolat a tendance à contenir plus de sucre et de matières grasses que les variantes traditionnelles, ce qui suscite le scepticisme des consommateurs.