Choc à l'hôpital : le chef du service de chirurgie d'Innsbruck est expulsé !
Andreas Kolk, directeur de l'hôpital universitaire d'Innsbruck, perd son poste - allégations et réactions suite au licenciement.
Choc à l'hôpital : le chef du service de chirurgie d'Innsbruck est expulsé !
Un choc surprenant a secoué la Clinique universitaire de chirurgie buccale et maxillo-faciale d'Innsbruck : le directeur Andreas Kolk a été démis de ses fonctions de direction. Le célèbre médecin, qui a pu prendre ses fonctions le 1er juillet 2019 et était alors considéré comme la « personne idéale », a qualifié son licenciement d’« injustifié » et a formulé de graves allégations contre la direction de la clinique. Kolk, qui travaille depuis des années à l'interface entre les soins médicaux et dentaires, voit désormais ses réalisations en matière de soins aux patients et de réseautage interdisciplinaire menacées.
Contexte de la décision
Selon les rapports de Couronne.at La raison de son renvoi n'est pas encore claire, mais il existe des tensions importantes au sein de la clinique qui pourraient se refléter dans la dernière décision. Même si Kolk semble continuer à bénéficier de la confiance de ses employés et de ses patients, l'avenir de la clinique sous la nouvelle direction est désormais incertain. La clinique de chirurgie plastique buccale, maxillo-faciale et faciale de Francfort-sur-le-Main, qui se concentre également sur d'excellents soins aux patients et sur des projets de recherche innovants, pourrait servir de comparaison à cet égard. Une grande valeur y est accordée à la collaboration interdisciplinaire et à une formation spécialisée complète, comme l'indique le site Internet de la clinique.
Les développements à la clinique d'Innsbruck soulèvent des questions sur la stabilité de la direction et l'orientation future de la chirurgie buccale et maxillo-faciale. La clinique de Francfort propose non seulement une large gamme de traitements et d'opérations dans ce domaine, mais est également connue pour ses projets de recherche avancés visant à améliorer les soins aux patients. Il reste à voir comment cette situation évoluera à Innsbruck et si de nouveaux concepts seront développés pour continuer à gérer la clinique.