Action douanière à Singen : les contrôles sur le salaire minimum révèlent des violations !
Les douanes contrôlent le salaire minimum à Singen : dans le cadre d'une campagne à l'échelle européenne visant à lutter contre le travail non déclaré et l'emploi illégal.
Action douanière à Singen : les contrôles sur le salaire minimum révèlent des violations !
Chanter (ots)
Le 17 octobre 2024, la DOUANE allemande a envoyé un signal fort dans le cadre d'une opération massive de contrôle transfrontalier pour vérifier le salaire minimum sur l'autoroute A81 ! Une cinquantaine d'agents des douanes du bureau principal des douanes de Singen ont examiné le secteur de l'expédition, du transport et de la logistique pour s'assurer que les nouvelles exigences légales avec un salaire minimum de 12,41 euros brut par heure sont respectées. Un front clair contre le travail non déclaré et le travail illégal !
La campagne, coordonnée sous l'égide impressionnante de l'Autorité européenne du travail (ELA), a reçu le soutien des collaborateurs de l'Office fédéral de la logistique et de la mobilité (BALM) et de la police des autoroutes. Même un représentant de l'ELA et des responsables de l'agence pour l'emploi slovaque étaient sur place pour accompagner ces contrôles sérieux. Au total, 32 entreprises ont été examinées, tandis que 38 personnes ont été interrogées sur leurs relations de travail – un aperçu franc des coulisses !
Des découvertes choquantes
Les mesures ont donné des résultats spectaculaires : dans six cas, les services d'urgence ont découvert des violations dans les domaines du salaire minimum, de l'emploi d'étrangers et d'abus d'avantages sociaux. À juste titre, trois procédures pénales et une affaire délictuelle ont été immédiatement engagées ! Ces mesures de répression font partie de l'une des plus grandes opérations d'inspection transfrontalière jamais menées dans l'Union européenne, dans laquelle plus de 3 300 agents des douanes ont été mobilisés en Allemagne - soutenus par des délégations de 20 États membres de l'UE !
Cette forte coopération entre les États membres montre leur ferme volonté de lutter contre les pratiques de travail illégales. Un appel clair : le salaire minimum n'est pas un point de négociation, il doit être respecté !