Banque en Autriche: le gros piège des coûts est-il maintenant?

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Débat sur un éventuel retour des services bancaires en Autriche: les parties discutent des contributions et des coûts équitables pour les clients.

Banque en Autriche: le gros piège des coûts est-il maintenant?

La taxe bancaire pourrait célébrer un rendement en Autriche: le capitaine de l'État de l'État Markus Wallner a signalé qu'il était ouvert aux discussions sur l'introduction d'une telle taxe. Cette idée, qui a été discutée après la crise financière en 2008 et abolie en 2016, pourrait désormais être de retour à l'ordre du jour pour générer des revenus supplémentaires pour l'État. Wallner a déclaré: "Je l'ai toujours regardé plutôt détendu parce que j'ai toujours pensé que les banques pouvaient également contribuer à la situation", comme orf . Les considérations visent à imposer un prélèvement sur leurs bénéfices ou leurs bilans afin de mieux amortir les crises financières futures.

Dans le cadre des négociations de la coalition entre les ÖVP, SPö et NEOS, la banque pourrait être un point central de litige. Wallner a souligné que la conception était cruciale et a averti que les coûts ne devaient pas être répercutés sur les clients bancaires. Il a clairement indiqué que ces contributions devraient s'écouler dans des zones telles que la construction résidentielle ou le financement énergétique. Cependant, la proposition a provoqué des réactions mitigées: bien que le SPö plaide pour une participation équitable des banques à l'entreprise, elle prévient des coûts plus élevés pour les citoyens. Le FPö considère le prélèvement comme un fardeau sur le secteur financier et des effets négatifs possibles sur l'économie, tandis que les Verts exigent une conception précise pour éviter les injustices sociales, telles que Le débat sur la taxe bancaire pourrait être crucial pour la composition du futur gouvernement, car il pourrait rapidement devenir un point de collision dans les négociations actuelles de la coalition entre les parties. Wallner a clairement indiqué que le consentement à la taxe de banque était étroitement lié aux mesures d'austérité déjà enregistrées après Bruxelles. Il reste à voir si et comment ces suggestions seront traitées dans le cabinet, mais il est clair que les discussions politiques augmenteront en intensité dans les prochains mois.