Nouvelle conception de l'UE: retour des migrants illégaux plus efficaces

Nouvelle conception de l'UE: retour des migrants illégaux plus efficaces

La discussion sur le retour des migrants intentionnels illégalement dans l'Union européenne accélère la vitesse. Le président de la Commission Ursula von der Leyen a annoncé lundi soir qu'un nouveau projet de loi était en préparation. Cela devrait viser à rendre le processus de retour plus efficace et à harmoniser les procédures dans les États membres.

De Leyen a souligné la nécessité que les gens sans le droit de rester doivent réellement être expulsés. Pour le moment, cela arrive dans une très petite mesure, ce qui souligne le besoin d'action. Un point central de la nouvelle loi sera d'établir des obligations claires pour les États en termes de rendement. Les différentes pratiques et procédures des pays de l'UE doivent être ajustées afin de garantir un processus plus efficace.

harmonisation des racks en pente

En conséquence, le président de la Commission a annoncé que le futur commissaire à la migration, Magnus Brunner (ÖVP), sera responsable de l'élaboration de la loi. La proposition comprend la gestion numérique des cas de retour. Cette mesure vise à garantir que les décisions d'un État membre sont reconnues plus rapidement et plus facilement par d'autres, ce qui signifie que les possibilités alternatives potentielles pour les migrants sont fermées.

"Nous avons besoin d'un nouveau cadre juridique pour améliorer notre capacité à agir", a déclaré Von der Leyen. Il s'agit de construire un certain niveau de confiance et d'harmonisation, de sorte que les décisions de retour dans un pays sont en fait acceptées dans une autre. Cette procédure pourrait contrer les lacunes potentielles dans le système que les migrants pourraient utiliser pour éviter le retour.

L'annonce intervient à un moment où les pays de l'UE se débattent en ce qui concerne le système d'asile européen commun, qui devrait entrer en vigueur à partir de juin 2026. La réforme prévoit des procédures d'asile plus courtes aux frontières extérieures de l'UE. Cependant, de nombreux États membres, tels que les Pays-Bas, la Pologne et la Hongrie, ont déjà exercé une pression afin d'être exclues des réglementations communes à l'asile. L'Autriche a également joué un rôle actif dans ce débat.

Ces nouveaux développements sont une étape supplémentaire dans le cadre des efforts de l'UE pour améliorer le contrôle de leur politique de migration. Le temps montrera comment ces initiatives peuvent être mises en œuvre dans la réalité. Cependant, les défis restent complexes, en particulier en ce qui concerne l'équilibre entre les objectifs juridiques de l'état, les droits de l'homme et la politique de migration.

Pour plus d'informations sur ce sujet, l'article sur www.meinbezirk.at Soyez révélateur.

Kommentare (0)