Scandale au Parlement : Rosenkranz ne transmet pas le document secret pendant dix jours !

Transparenz: Redaktionell erstellt und geprüft.
Veröffentlicht am

Le parquet de Vienne demande la levée de l'immunité des hommes politiques du FPÖ après que Rosenkranz ait retenu ses demandes pendant dix jours.

Staatsanwaltschaft Wien fordert Aufhebung der Immunität von FPÖ-Politikern, nachdem Rosenkranz Ersuchen zehn Tage zurückhielt.
Le parquet de Vienne demande la levée de l'immunité des hommes politiques du FPÖ après que Rosenkranz ait retenu ses demandes pendant dix jours.

Scandale au Parlement : Rosenkranz ne transmet pas le document secret pendant dix jours !

Révélations sensationnelles sur le président du Conseil national Walter Rosenkranz (FPÖ) ! Le parquet de Vienne a demandé la levée de l'immunité de trois députés du FPÖ, à savoir Harald Stefan, Martin Graf et le directeur du club Norbert Nemeth. Le soupçon : réactivité ! Cela se produit en relation avec sa participation à des funérailles au cours desquelles une chanson a été chantée, également utilisée par les tristement célèbres SS. Néanmoins, le FPÖ défend cette participation en affirmant qu'il s'agissait d'une version de 1814 et que la chanson était la volonté expresse du défunt, membre de la fraternité. Des affirmations sensationnelles qui dépassent les frontières du débat politique ! Comme le couronne Selon certaines informations, Rosenkranz aurait reçu le courrier correspondant du parquet le 20 novembre, mais aurait gardé cette information secrète pendant dix jours. Les parties n’ont eu connaissance de cette affaire explosive que par les médias.

Réactions politiques et demandes de clarification

La politique d'information prudente de Rosenkranz a créé beaucoup de carburant dans l'arène politique. L’ÖVP, le SPÖ et les Verts exigent désormais avec insistance des explications. Le porte-parole constitutionnel de l'ÖVP, Wolfgang Gerstl, réclame notamment des éclaircissements immédiats. Autrement, il estime que Rosenkranz aurait « complètement échoué ou délibérément enfreint les règles de procédure » de son administration. Les Verts sont également indignés : la présidente du club, Sigrid Maurer, a l'impression que Rosenkranz ne doit pas jouer son rôle d'acteur politique d'un parti, mais celui de représentant neutre du Conseil national. Selon le règlement intérieur, de telles demandes doivent être immédiatement renvoyées à la commission de l'immunité. Un porte-parole de Rosenkranz a expliqué que la demande avait finalement été transmise dans les délais, mais la direction parlementaire a confirmé que la lettre n'avait été reçue au bureau du Conseil national que vendredi dernier, ce qui renforce encore les allégations.

Ce conflit politique aura certainement d'autres conséquences, car non seulement la responsabilité directe de Walter Rosenkranz est mise en cause, mais aussi des questions sur les racines et les pratiques au sein du FPÖ lui-même. L’importance de l’éducation et de la transparence dans ces domaines ne peut être surestimée ORF souligné.