Erdogan étonnamment: pas de candidature à la présidentielle 2028!
Erdogan étonnamment: pas de candidature à la présidentielle 2028!
Ungarn, Land - Le président turc Recep Tayyip Erdogan a étonnamment annoncé qu'il ne se présenterait plus aux élections présidentielles en 2028. Cette explication a provoqué une grande sensation dans l'espace national et international. La déclaration a été faite lors d'une visite d'État en Hongrie et a été confirmée par plusieurs médias. Erdogan a souligné: "Je n'ai pas l'intention d'être réélu ou de courir à nouveau à la présidence." Sa demande de changement constitutionnel prévoit une coopération avec l'opposition pour développer une «constitution civile» et pour améliorer la réputation de la Turquie, comme [OE24] (https://www.oe24.at/weltpolpolitik/paukenschlag-erdogan-nicht- mehr-alside-cryande / 634324951)
Erdogan, qui est président depuis 2014 et est au pouvoir depuis plus de 20 ans depuis un changement systémique en 2017, a excité l'esprit avec cette annonce. La Constitution turque permet au président d'avoir un maximum de deux termes, chacun dure cinq ans. Lors de l'élection présidentielle en mai 2023, Erdogan a pu obtenir son deuxième mandat lors d'une élection de ruissellement. Le mandat se termine формально 2028, mais il y a des spéculations selon lesquelles Erdogan peut travailler vers un troisième mandat, sur la base de la détention du politicien de l'opposition Ekrem Imamoglu, qui est considéré comme une indication de ses ambitions. Selon n-tv, il existe des options juridiques: de nouvelles élections ou un changement constitutionnel.
Système gouvernemental et distribution d'énergie
Depuis 2018, Erdogan dirige un système présidentiel qui renforce l'exécutif et affaiblit le Parlement. Le contrôle parlementaire a été considérablement réduit car les options de contrôle classiques telles qu'un vote de non-confiance n'existent plus. Ce nouveau système a commencé par une réforme constitutionnelle qui a été acceptée par la majorité des électeurs en 2017. La législation est désormais la responsabilité de la "Grande Assemblée nationale de Türkiye", qui compte 600 MPS. Un examen des résultats du dernier choix montre une domination claire de l'AKP, qui contient actuellement 317 sièges, tandis que l'opposition se termine par 133 sièges (CHP) et 55 sièges (MHP). Un changement constitutionnel, en revanche, nécessite une majorité des deux tiers au Parlement, ce qui semble être peu probable, en tant que BPB.
Les défis auxquels le gouvernement est confronté ne peut être rejeté. La coalition gouvernementale actuelle d'Erdogan n'a pas suffisamment de votes pour un changement constitutionnel ou pour une élection précoce, qui nécessiterait une majorité de trois à trois personnes au Parlement. Les deux scénarios pourraient mettre en danger les plans ambitieux d'Erdogans. De plus, un partenariat avec le pro-kurde pourrait être crucial pour atteindre le nombre nécessaire de votes.
Conclusion et perspectives
L'avenir politique d'Erdogan dépendra de manière décisive de la façon dont il met ses annonces et ses plans en pratique dans les années à venir. Bien qu'il semble retirer officiellement ses demandes de pouvoir, la question demeure quelles manœuvres stratégiques qu'il prendra pour maintenir sa domination politique. L'accent mis sur un changement constitutionnel avec le soutien de l'opposition pourrait initier une tournure passionnante dans les événements politiques de Türkiye.
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