Abus sexuels dans le parc : enquêtes contre de nombreux jeunes !

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Attention médiatique autour de l'affaire d'abus à Vienne : des jeunes de 13 ans et plus d'une douzaine de garçons au centre de l'enquête. Détails sur la procédure.

Abus sexuels dans le parc : enquêtes contre de nombreux jeunes !

Dans l'affaire spectaculaire du viol présumé d'une jeune fille alors âgée de 12 ans à Vienne, qui fait sensation depuis un an, de nombreux suspects mineurs et un jeune de 19 ans sont actuellement critiqués. Le parquet de Vienne enquête sur plus d'une douzaine de garçons pour abus sexuels graves. La jeune fille aurait vécu le crime à l'Antonspark à Favoriten, où elle aurait rencontré un jeune de 17 ans - alors âgé de seulement 15 ans - via Snapchat, selon le rapport. Petit journal signalé.

Dans un autre procès, un jeune de 16 ans a été acquitté après que le tribunal a estimé que les rapports sexuels étaient « totalement consensuels », malgré de graves allégations. Le jeune homme de 17 ans, qui est l'un des principaux accusés, a attiré l'attention du public lorsqu'il a été accusé d'avoir forcé à plusieurs reprises la jeune fille à avoir des relations sexuelles orales, malgré son rejet évident. Le procureur a fait valoir qu'il y avait un élément de violence, tandis que l'avocat de la défense a rejeté les allégations comme étant exagérées et a parlé d'une « condamnation préalable incroyable ». La déclaration de la jeune fille selon laquelle elle n'a jamais parlé de violence a conforté l'argument de l'avocat de la défense. Il a critiqué la représentation des événements comme une « mise en scène de victimes » qui ne correspondait pas à la vérité, tout comme le Site week-end.at signalé.

Déroulement du procès et allégations

Le procès est caractérisé par une tension émotionnelle car la jeune fille n'a pas été directement interrogée lors de l'enquête préliminaire. Son avocat s'est joint à la procédure pénale en tant que partie privée et a déclaré que la jeune fille avait été en contact avec une trentaine de garçons. Cela a conduit à des récits de l'incident très variables. L'avocat de la défense du jeune de 17 ans a qualifié ces allégations de "partiellement farfelues", ce qui accroît encore l'explosivité de la procédure. Le ministère public demande des éclaircissements sur les circonstances, car ce qui s'est passé entre la jeune fille et le jeune de 17 ans est clair.

Ces évolutions obligent la société à réfléchir à la manière dont de tels incidents sont perçus non seulement sur le plan juridique, mais aussi moralement et socialement. Le tribunal doit maintenant examiner les preuves et prendre en compte la situation difficile de toutes les personnes impliquées.