Le FPÖ critique les nouvelles règles d’attribution des logements : un danger pour Innsbruck ?

Transparenz: Redaktionell erstellt und geprüft.
Veröffentlicht am

Le FPÖ tyrolien critique les nouvelles directives d'attribution des logements à Innsbruck, qui n'exigent aucune connaissance de l'allemand. Est-ce un danger pour la population locale ? Lisez maintenant !

Le FPÖ critique les nouvelles règles d’attribution des logements : un danger pour Innsbruck ?

La politique actuelle du logement à Innsbruck suscite de vifs débats. Le FPÖ tyrolien a étonnamment vivement critiqué les nouvelles directives en matière de marchés publics prévues par la municipalité de gauche. Parmi les critiques figurent des personnalités éminentes telles que le président du parti régional du FPÖ, Markus Abwerzger, ainsi que le conseiller municipal Markus Lassenberger et le président du parti municipal Rudi Federspiel. Ils préviennent que ces mesures pourraient sérieusement mettre en danger l'avenir de la capitale du Tyrol.

Dans une déclaration commune, les responsables politiques du FPÖ ont exprimé leur inquiétude quant au fait que les changements prévus encourageraient une immigration effrénée vers Innsbruck. Ce qui est particulièrement frappant, ce sont les critiques formulées à l'encontre du projet de suppression de la maîtrise de la langue allemande comme critère d'attribution des logements sociaux. « Sans connaissance de l'allemand, il devient plus facile pour les immigrés d'obtenir un logement, tandis que la population locale souffre de cette politique », explique Abwerzger. Cette opinion est soutenue par Lassenberger, qui souligne que, selon lui, la classe moyenne et les citoyens locaux devraient être au centre de l'attribution des logements.

Pourquoi cette démarche du FPÖ est importante

Markus Lassenberger estime que la municipalité ne répond pas aux besoins des habitants et ne suit pas les demandes actuelles. "Nous ne parlons pas ici d'une crise du logement", a déclaré Abwerzger, qui a rejeté les arguments du SPÖ et des Verts, qui parlent depuis des années d'une telle pénurie. "Il n'y a pas de crise du logement à Innsbruck ; en fait, il est évident que la municipalité aborde la question de la mauvaise manière."

En outre, le chef du parti municipal Federspiel attire l'attention sur la pratique en Haute-Autriche, où les compétences linguistiques sont une condition préalable pour les étrangers lors de l'attribution d'un logement. "Là-bas, le FPÖ et l'ÖVP ont mis en œuvre avec succès cette réglementation. À Innsbruck, cependant, nous misons sur un afflux incontrôlé, qui peut conduire à la création de sociétés fantômes", a poursuivi Federspiel.

Le FPÖ réclame désormais une plus grande attention aux intérêts de la population locale et une adaptation des directives d'attribution des logements afin d'assurer l'avenir à long terme de la ville d'Innsbruck. Au vu de ces évolutions, on peut se demander comment la municipalité se positionnera à l'avenir et quelles mesures seront réellement prises pour trouver un équilibre entre immigration et soutien à la population locale. Abwerzger et ses collègues conviennent qu'une révision des directives d'attribution des logements est nécessaire pour garantir une coexistence équitable. Plus d'informations sur ce sujet peuvent être trouvées dans les articles sur www.unsertirol24.com.