Le FPÖ entre deux feux : NEOS critique les atteintes à la liberté de la presse !

Transparenz: Redaktionell erstellt und geprüft.
Veröffentlicht am

Le NEOS de Vienne critique le FPÖ pour ses attaques contre la liberté des médias et met en garde contre la désinformation dans les reportages politiques.

Le FPÖ entre deux feux : NEOS critique les atteintes à la liberté de la presse !

Le NEOS de Vienne a vivement critiqué les récentes déclarations du FPÖ à propos de l'interview du ZIB2 sur les élections de Vienne. Le directeur général de NEOS, Philipp Kern, a expliqué que les réactions du FPÖ aux informations critiques des médias pouvaient être assimilées à « de la paranoïa plutôt qu'à de la politique ». Dominik Nepp, l'un des dirigeants du FPÖ, a dû faire face à des questions sur la représentation des sexes dans son propre parti, tandis que Bettina Emmerling a également été interviewée par la rédaction de l'ORF. Selon Kern, le FPÖ préfère combattre les médias plutôt que de s'attaquer aux vrais problèmes politiques. Il a qualifié d'inacceptables ces atteintes à la liberté des médias et la diffusion de la désinformation par le FPÖ, car elles compromettent les mesures visant à garantir la qualité de la presse. « L’argent des contribuables ne doit pas être utilisé pour diffuser de la désinformation », a déclaré Kern. Le NEOS prône une politique qui promeut le renforcement des médias indépendants et rejette toute approche de formes de gouvernement autoritaires, telles que « l’orbánisation ». Le FPÖ se laisse diriger par ses propres canaux médiatiques, qui travaillent souvent sur des théories du complot, ce qui l'a déjà conduit à un éloignement paralysant du journalisme sérieux, comme OTS.at signalé.

En outre, le SPÖ, les Verts et le NEOS ont vivement critiqué les déclarations faites par les membres du Conseil national du FPÖ qui, lors d'une réunion, ont tenu des propos désobligeants à l'égard de l'ÖVP et des migrants. Même s’il y a eu des éloges lors des négociations, les talibans en Afghanistan ont trouvé des mots d’éloge. Ces conversations enregistrées secrètement ont été publiées par des journalistes de France Télévisions, la chaîne publique française. Les syndicats ainsi qu'Amnesty International et la Cour des comptes ont également réagi aux attaques contre la liberté et la promotion de la presse, condamnant fermement les actions du FPÖ. L'Association industrielle a estimé que ses déclarations étaient déformées par le FPÖ derStandard.at signalé.