Parquet de Munich : abandon des poursuites contre Boateng !
Le parquet de Munich abandonne les poursuites contre Jérôme Boateng pour coups et blessures, faute de preuves suffisantes.
Parquet de Munich : abandon des poursuites contre Boateng !
Le parquet de Munich a arrêté l'enquête contre l'ancien footballeur national Jérôme Boateng. Cela s'est produit dans le cadre d'allégations d'agression physique contre son ex-petite amie Kasia Lenhardt. La décision a été prise selon le principe « in dubio pro reo », ce qui signifie qu'en cas de doute, la décision est prise en faveur du défendeur. Fort laola1.at Boateng ne sera donc pas accusé de coups et blessures, de contrainte ou de diffamation.
Boateng a exprimé son soulagement que la procédure ait été interrompue après cinq ans et a exprimé son espoir de paix pour sa famille. L'enquête a débuté en 2019, mais a été temporairement interrompue avant d'être rouverte après le décès de Lenhardt en 2021. La raison de la réouverture était de nouvelles preuves qui faisaient soupçonner que Lenhardt avait subi des blessures graves peu de temps avant sa mort.
Preuves insuffisantes
Malgré les inquiétudes concernant les circonstances entourant la mort de Lenhardt, les procureurs n'ont trouvé pas suffisamment de preuves pour justifier les accusations. Les enquêteurs responsables ont déclaré que Lenhardt n'était plus disponible comme témoin et que les blessures documentées n'étaient pas suffisantes pour prouver un crime. On ignore donc comment ces incidents se sont réellement produits. L'avocat de Boateng a souligné que toutes les enquêtes avaient montré que Boateng n'avait pas commis les crimes.
En revanche, l'avocat de la famille Lenhardt a souligné que Boateng n'avait été reconnu coupable d'avoir agressé un autre ex-conjoint que l'année dernière. Cela soulève des questions sur la dynamique de la violence dans la vie de l'athlète et met en évidence les défis liés à la gestion de la violence domestique.
Contexte de violence contre les femmes
Le débat sur la violence à l’égard des femmes est particulièrement pertinent à la lumière des évolutions sociales actuelles. Le 3 décembre 2024, l'Institut allemand des droits de l'homme a présenté le premier rapport périodique sur la mise en œuvre de la Convention d'Istanbul en Allemagne. Dans ce rapport, qui couvre les développements survenus entre 2020 et 2022, les efforts déployés par le gouvernement fédéral et les gouvernements des États pour remplir leurs obligations en matière de droits de l'homme sont analysés et documentés en détail. Les actes de violence comme ceux reprochés à Jérôme Boateng sont au centre de ce reportage qui souligne la gravité du problème. De plus amples détails peuvent être trouvés sur le site Web Institut des droits de l'homme.