Immatriculation numérique des véhicules en Saxe : où sont les progrès ?

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En Saxe, l’immatriculation numérique des véhicules n’est pas encore disponible partout. Des raisons de sécurité et des défis techniques retardent l’introduction.

Immatriculation numérique des véhicules en Saxe : où sont les progrès ?

La révolution numérique dans l'immatriculation des véhicules n'a pas encore atteint partout en Saxe ! Alors que de nombreux citoyens profitent déjà des avantages des admissions en ligne, certains comtés sont à la traîne à l’ère numérique. Le dernier niveau i-KfZ 4 n'est pas encore disponible à Görlitz, en Saxe centrale, en Saxe du Nord ainsi que dans l'Erzgebirge et le Vogtland. Les exigences de sécurité de l'Autorité fédérale des transports routiers font obstacle au progrès, mais une solution est en vue : l'introduction de ce niveau est prévue pour l'année prochaine !

Obstacles techniques et demande croissante

La technologie est vulnérable et provoque des perturbations à plusieurs reprises, comme le rapporte le bureau du district de Leipzig. De nombreux citoyens ont du mal à compléter le processus d'inscription en ligne car ils oublient souvent des informations importantes. S’il est relativement facile de radier une voiture ou de changer d’adresse, l’enregistrer complètement est un défi. À Leipzig, cependant, le recours à l’admission en ligne a triplé par rapport au niveau précédent ! Dans le district de Zwickau, les candidatures ont plus que décuplé en un clic de souris.

Économies de coûts grâce à l'admission en ligne

Le ministère fédéral des Transports souligne que l'inscription en ligne permet non seulement d'économiser du temps, mais aussi de l'argent. Les frais sont nettement inférieurs : 16,30 euros pour une inscription en ligne contre 30,60 euros au guichet ! Le démantèlement ne coûte également que 2,70 euros en ligne, tandis que 16,80 euros sont dus au guichet. À Dresde, cependant, l’utilisation des offres numériques est encore faible, bien que le démantèlement y soit la pratique la plus courante. Un appel clair aux communes : il est temps de surfer sur la vague numérique !