Netflix flaire une opportunité : les droits de la Formule 1 pourraient changer !
Netflix envisage d'acquérir les droits de diffusion de la Formule 1 américaine à partir de 2026 après l'expiration des négociations d'exclusivité avec ESPN.
Netflix flaire une opportunité : les droits de la Formule 1 pourraient changer !
Le géant du streaming Netflix prévoit une incursion audacieuse dans le monde du sport automobile en soumissionnant pour les droits de diffusion américains de la Formule 1. Selon les médias, Netflix pourrait mettre fin à la domination précédente d'ESPN dans ce domaine. Les droits actuels appartiennent à ESPN jusqu'à fin 2025, mais les rumeurs vont bon train : selon un rapport de oe24 ESPN n'a pas respecté la date limite pour renouveler son contrat, ce qui ouvre désormais la possibilité à Netflix et à d'autres soumissionnaires potentiels d'acquérir les droits de diffusion.
Le lien réussi de Netflix avec la Formule 1, créé depuis 2019 à travers le documentaire « Drive to Survive », est particulièrement intéressant. Cette série a non seulement accru l'intérêt pour la Formule 1 aux États-Unis, mais a également touché un public sur de nouveaux marchés, comme celui de Magazine du sport automobile signalé. Netflix pourrait désormais tenter d'obtenir les droits en direct pour diffuser l'action de course en temps réel dans les mois à venir. Pour le fournisseur de streaming, acquérir les droits de Formule 1 serait non seulement une victoire, mais aussi une expansion logique de ses retransmissions sportives, qui incluent déjà d'autres formats médiatiques en plus des sports comme la NFL et la boxe.
Lutte pour les droits
La concurrence ne dort pas : Apple serait également en pourparlers pour reprendre les droits de la Formule 1. Liberty Media n'a pas encore réussi à parvenir à un accord avec ESPN pour son futur contrat car une clause de négociation exclusive a expiré. Cela ouvre la possibilité à Netflix de se développer encore davantage sur le marché américain. Netflix a également récemment accueilli dans ses rangs Kate Jackson, qui était auparavant vice-présidente de la production d'ESPN pour la couverture de la Formule 1, soutenant ainsi les ambitions du service de streaming. La question reste de savoir si Netflix peut réellement remporter la course aux droits ou s’il existe d’autres poids lourds autour de la table qui s’intéressent également à la catégorie reine du sport automobile.