Procès pénal à Trèves : un homme de 38 ans accusé de faux soupçons !

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Un homme de 38 ans sera jugé à Trèves à partir du 13 janvier 2025 pour faux soupçons et injures.

Procès pénal à Trèves : un homme de 38 ans accusé de faux soupçons !

Le 13 janvier 2025, un procès pénal contre un homme de 38 ans de la commune de Saarburg-Kell s'ouvre à Trèves. L'accusé, déjà condamné à plusieurs reprises, est soupçonné d'avoir formulé de faux soupçons dans 14 affaires. Il est également accusé d'insulte dans trois affaires, de dommages matériels dans deux affaires et de tentative de contrainte.

Les agissements du prévenu se seraient déroulés entre septembre 2022 et mars 2023. Il a déposé de fausses plaintes contre des membres des forces de l'ordre et de la justice, notamment pour coups et blessures, vols, faux en documents, tentative d'homicide et privation de liberté. Il est également accusé d'avoir insulté et menacé deux voisins. Il aurait causé des dégâts matériels dans son appartement de location en arrachant les panneaux du plafond et en perçant un trou dans le mur. Le total des dégâts s'élève à 650 euros. Une fausse plainte contre le directeur du tribunal de district d'Hermeskeil, qu'il a déposée pour avoir prétendument soutenu des délits tels que la fraude et la contrefaçon, est particulièrement remarquable.

Base juridique des faux soupçons

Le cadre juridique des faux soupçons est clairement défini. Comment avocat.org Comme décrit, un faux soupçon est le fait que quelqu'un accuse faussement une personne d'une infraction pénale. Cela donne généralement lieu à des enquêtes de la police et du procureur. L'auteur du crime doit savoir consciemment que l'accusé n'a pas commis le crime. Selon l'article 164 du Code pénal, un faux soupçon peut être puni d'une peine de prison pouvant aller jusqu'à cinq ans ou d'une amende. Dans les cas les plus graves, des peines de prison pouvant aller jusqu'à dix ans sont possibles.

La procédure pour faux soupçons se déroule souvent par écrit ; Toutefois, dans les cas graves, des audiences publiques principales peuvent également être programmées. Par ailleurs, les faux soupçons sur Internet ne relèvent pas de la liberté d’expression. Les victimes de faux soupçons ont la possibilité de demander une indemnisation, ce qui se fait par voie civile. Par conséquent, les poursuites pénales ne se limitent pas aux aspects du droit pénal, mais incluent également les aspects du droit civil.

– Soumis par Médias Ouest-Est