Le gouvernement de l'Autriche est d'accord: la surveillance des messager commence bientôt!

Le gouvernement de l'Autriche est d'accord: la surveillance des messager commence bientôt!

Österreich - Le gouvernement fédéral autrichien a convenu après des négociations intensives sur un règlement pour surveiller les services de messager. Cet accord est décrit comme un progrès significatif dans la défense terroriste. Le ministre de l'Intérieur, Gerhard Karner (ÖVP), a décrit la décision comme la "marge de la défense terroriste en Autriche". Les mesures sont en particulier destinées aux dangers en béton, en particulier sur les cas de crise où la sécurité et l'ordre public sont en jeu.

Le nouveau règlement stipule que la surveillance des services de messager ne peut être effectuée que conformément à l'ordre d'un Sénat de trois juges et sous le contrôle d'un agent de protection juridique. À l'avenir, cela aura douze semaines pour vérifier le logiciel proposé, au lieu de deux semaines auparavant. En outre, des rapports spéciaux doivent être créés dans le comité d'investigation responsable pour plus de 30 demandes par an.

Prérequis et réglementations

Les conditions de surveillance sont délibérément étroitement fixées. Les autorités de sécurité ne peuvent se replier sur le suivi que si cela est absolument nécessaire pour l'enquête. Un examen est également assuré par un agent de protection juridique qui vise à garantir que les abus, tels que les journalistes ou autres voix critiques, sont punis de sanctions difficiles. Les conditions préalables comprennent, entre autres, que le crime doit être punis d'une peine de prison d'au moins dix ans.

La base juridique de la surveillance doit être décidée dans le plénum avant l'été. Les experts internes du pays et de l'étranger sont inclus dans la mise en œuvre technique. Il est assuré que le logiciel de surveillance est programmé exclusivement sur les services Messenger et qu'aucune autre données privées n'est enregistrée.

Critiques et problèmes de sécurité

Malgré ces mesures de sécurité, il existe une variété de critiques de l'opposition. Les représentants des NEOS, FPö et Greens ont exprimé des préoccupations et ont souligné que la mesure ne pouvait répondre aux exigences de la Constitution. Le président du Club des NEOS, Yannick Shetty, a souligné que la conception ministérielle d'origine était constitutionnellement discutable. Le responsable de la protection des données Epicentre.Works a également exprimé des doutes quant à la conformité constitutionnelle du projet de loi.

Une plate-forme de dénonciation pour le Service du gouvernement de la protection des États devrait également être créée afin de reconnaître tôt les abus potentiels. Les sanctions concernant la maltraitance de l'office doivent également être resserrées afin de plier les fonctionnaires en cas de faute. Il est prévu que la peine d'abus devrait être considérablement augmentée en deux ans.

Avec cet accord, les parties gouvernementales souhaitent créer une règle qui permet aux autorités de sécurité davantage d'accès aux données de communication, tandis que la protection des droits fondamentaux individuels devrait rester. Cependant, le gouvernement fédéral doit continuer à garantir que les mesures sont effectivement mises en œuvre sans mettre inutilement en danger les droits des citoyens.

5min rapports sur les résultats du Conseil des ministres, tandis que la presse met en évidence l'arrière-plan et Kurier Résume les aspects et les préoccupations de la sécurité.

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