Jeunesse AfD à Berlin : dissolution ou nouveau départ ? Des développements passionnants !
La Junge Alternative de Berlin envisage de se dissoudre. Le conseil d’administration fédéral de l’AfD poursuit une restructuration stratégique.

Jeunesse AfD à Berlin : dissolution ou nouveau départ ? Des développements passionnants !
L'AfD envisage une restructuration complète de son organisation de jeunesse, la « Junge Alternative » (JA), classée comme résolument d'extrême droite par l'Office pour la protection de la Constitution. Le conseil exécutif fédéral a l'intention de dissoudre la JA et d'intégrer ses membres dans une nouvelle organisation de jeunesse plus restreinte afin de professionnaliser le parti et de contrecarrer une éventuelle dissolution de la JA. Il s'agirait d'une mesure stratégique visant à protéger l'organisation et ses membres d'une interdiction, comme le rapporte rbb24 émerge. Le Berliner JA soutient cette initiative, alors que d'autres associations régionales émettent des critiques claires, qui considèrent ce projet comme une perte d'indépendance.
Critiques et soutien au sein de l’AfD
La dissolution prévue est vivement critiquée, notamment dans le Brandebourg. Anna Leisten, la présidente du JA local, a qualifié cette approche de « complètement fausse » et craint qu'elle ne soit rétrogradée au statut de « salope » du parti parent. Malgré ces voix incohérentes à travers le pays, le leader du JA à Berlin, Martin Kohler, s'engouffre dans la brèche : il voit la nécessité et l'opportunité de lier l'organisation de jeunesse à l'AfD afin de préserver l'influence et les opportunités de ses propres impulsions au sein du parti. En particulier, la réorganisation de la JA pourrait doubler le nombre de membres, puisqu'à l'avenir tous les membres de l'AfD jusqu'à 35 ans pourraient automatiquement appartenir à la nouvelle organisation de jeunesse, comme le nouvelles quotidiennes signalé.
L'un des objectifs centraux de la restructuration est de renforcer le contrôle sur la JA et de garantir que des normes strictes s'appliquent aux exclusions de partis. Cela pourrait signifier que la création et l’adhésion future de la nouvelle organisation dépendent de procédures d’admission spécialement coordonnées, ce qui pourrait accroître le débat sur les incompatibilités et les liens passés avec des groupes extrémistes.