Sabotage à Hochschwab : le leader du FPÖ Kickl dans le collimateur des enquêteurs !

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Les autorités enquêtent après un sabotage sur la voie d'escalade « Geheimer Schwob » en Styrie. Le leader du FPÖ, Kickl, semble affecté.

Sabotage à Hochschwab : le leader du FPÖ Kickl dans le collimateur des enquêteurs !

À Hochschwab, une région montagneuse populaire de Styrie, la voie d'escalade « Geheimer Schwob », que le président du FPÖ, Herbert Kickl, a contribué à développer, a été vandalisée. Des photos montrant des militants retirant les ancrages de sécurité avec une meuleuse d'angle ont été publiées ce week-end. Ces images portaient le message provocateur : « Chassez les fascistes des montagnes ». On soupçonne que cette action fait partie d'un conflit politique contre l'idéologie de Kickl, comme Autriche signalé. La police alpine a examiné le tracé lundi et a confirmé que les dégâts étaient intentionnels et non causés par des causes naturelles telles que des chutes de pierres.

Plusieurs autorités, dont la direction de la police d'État de Styrie et l'Office d'État pour la sécurité de l'État et la lutte contre l'extrémisme (LSE), sont désormais impliquées dans l'enquête. Un contexte politique à l’incident ne peut être exclu. Dans un communiqué, le FPÖ lui-même a pris l'initiative et a soumis un exposé des faits dans lequel il a parlé d'un « acte de vandalisme incroyable » et a offert 1 000 euros à la police pour toute information pertinente. Le président du club styrien du FPÖ, Marco Triller, demande que les auteurs soient sévèrement punis, car leur acte a non seulement causé des dommages matériels considérables, mais a également mis en danger la sécurité des autres grimpeurs, a-t-il déclaré. Petit journal.

Le FPÖ décrit ces actions comme faisant partie d'un activisme extrémiste de gauche et souligne qu'une telle menace envers d'autres athlètes de montagne pourrait avoir des conséquences. Sebastian Schwaighofer, porte-parole du FPÖ pour l'extrémisme de gauche, s'inquiète de la menace que représentent de telles actions et critique le manque de documentation sur les actes de violence dans le spectre de l'extrême gauche. "Cet acte prouve une fois de plus le danger, mais aussi la méchanceté particulière de la scène extrémiste de gauche", explique-t-il. Avec les enquêtes en cours, le FPÖ espère une réponse juridique claire contre les responsables de cet incident.