Meinl-Reisinger demande des sanctions contre Dodik: un pas vers la stabilité?
Meinl-Reisinger demande des sanctions contre Dodik: un pas vers la stabilité?
Le ministre autrichien des Affaires étrangères Beate Meinl-Reisinger des Neos exige urgent de toute urgence des sanctions contre Milorad Dodik, le président de la Republica SRPSKA en Bosnie-Herzégovine. Dans ses déclarations publiques, elle souligne que Dodik a commis des violations claires du droit constitutionnel bosniaque. Le ministère des Affaires étrangères en Autriche examine actuellement diverses options pour sanctionner les responsables de réagir à la situation inquiétante. Les sanctions contre Dodik ont déjà été discutées au niveau de l'UE, mais ces mesures ont été bloquées par un veto de la Hongrie, ce qui rend les efforts plus difficiles.
Meinl-Reisinger emphasizes that Dodik's actions not only endanger the stability but also the territorial integrity of Bosnia. Dodik est un acteur central du paysage politique de la Bosnie et a récemment reçu un mandat d'arrêt pour avoir ignoré le haut représentant des Nations Unies. Bien qu'il ait été condamné à un an de prison, le jugement n'est pas encore définitif. Le président de la Republika SRPSKA a également déclaré que l'autorité du gouvernement central bosniaque a mis fin à ce que sa rébellion illustre contre les institutions nationales.
sanctions et pertinence internationale
Les États-Unis ont déjà imposé des sanctions contre Dodik car il est considéré comme corrompu et la stabilité de la Bosnie est de plus en plus menacée. Avec ses activités, il met également en danger l'Accord de paix de Dayton 1995, qui divise la Bosnie-Herzégovine dans deux entités: la Republika Srpska et la fédération croate-musulmane. Cet accord prévoit le bureau d'un haut représentant qui surveille le respect du traité de paix.
En outre, Dodik a appliqué des initiatives législatives qui invalides déclarent les jugements de la Cour constitutionnelle de Sarajevo dans la Republika SRPSKA. Ces lois, qui sont décrites par des politiciens de haut niveau comme une violation claire de la Constitution, permettent aux fonctionnaires qui s'opposent à eux de punir jusqu'à cinq ans de prison. En réponse aux Dodiks, le haut représentant Christian Schmidt a publié un décret qui déclare ces nouvelles réglementations pour zéro et vide. Le message américain à Sarajevo soutient les mesures de Schmidt et condamne les progrès des Dodiks comme inconstitutionnels.
Polarisation du paysage politique
Les demandes de MEINL-REINIGER rencontrent non seulement l'approbation, mais aussi des critiques importantes. Les politiciens du FPö, y compris Dominik Nepp et Harald Vilimsky, mettent en garde contre la mise en danger de la réputation neutre de l'Autriche. Ils craignent que les sanctions ne mettent une pression sur l'Autriche aux pays des Balkans occidentaux. Cette polarisation interne illustre la complexité de la situation politique par rapport à la Bosnie-Herzégovine et le rôle que l'Autriche joue dans ce contexte géopolitique.Le président serbe Aleksandar Vučić a également commenté de manière critique les développements de la Republika SRPSKA et a décrit la situation comme une "crise énorme et grave". Cependant, les principaux politiciens à Sarajevo, comme Nermin Niksić, Premier ministre de la Fédération bosniaque-lacaine, ont accueilli les décrets de Schmidt comme "complètement justifiés".
Compte tenu de la situation tendue en Bosnie-Herzégovine, il reste à voir comment la situation politique se développera et si l'Autriche impose réellement des sanctions contre Dodik. Les développements dans la région restent un sujet critique pour la politique étrangère européenne et la stabilité des Balkans occidentaux.Details | |
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Ort | Vienna, Österreich |
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