La Commission de l'UE soutient l'Italie dans le différend sur les mesures de transit tyroliennes

La Commission de l'UE soutient l'Italie dans le différend sur les mesures de transit tyroliennes

Dans un conflit de plus en plus tendu entre l'Autriche et l'Italie sur les soi-disant mesures anti-transit au Tyrol, la Commission de l'UE Italie a désormais expressément assuré son soutien à son procès devant la Cour de justice européenne (ECJ). Cette décision fortement attendue intervient après que l'Italie a soumis le procès en juillet, et la Bruxelles Authority a demandé que vous agissiez en tant qu'intervenant dans la procédure.

Cependant,

Ce soutien ne signifie pas que la Commission de l'UE déposait une poursuite. Elle a plutôt souligné dans sa demande qu'elle veut montrer sa vision des points testés par le Tribunal. Selon un porte-parole de la Commission, il s'agit d'une pratique courante dans les cas qui sont réglementés à l'article 259 du traité sur la méthode de travail de l'Union européenne, traitant des différends entre les États membres de l'UE.

Réactions du tiol

Le gouverneur de

tirol, Anton Mattle, a réagi aux développements et ne considère pas le soutien de la Commission de l'UE comme une surprise. Il souligne que cette décision ne remettra pas en question les mesures d'urgence de transit tyroliennes, qui à son avis contribuent de manière significative à la protection de la qualité de l'air et de la sécurité routière. "La CJCE ne s'occupera pas des bases de nos mesures", a-t-il déclaré avec confiance.

Dans une interview avec le bureau de rédaction du district de Mein, Mattle a souligné que la Commission européenne n'avait jusqu'à présent vu aucune raison de soumettre son propre procès. Cela indique que la Commission peut avoir des doutes sur l'opportunité et le succès du procès italien.

Les mesures anti-transit tyroliennes, qui comprennent également des aspects tels que les interdictions de conduite nocturne et le rationnement de l'accès aux véhicules lourds, sont au centre de la Commission de l'UE. Bien que ces mesures aient amélioré la qualité de l'air, cela limiterait également le trafic de marchandises libres dans certaines zones, comme la Commission l'a souligné. En particulier, les restrictions sur les livraisons de camions à l'étranger pourraient être problématiques à leur avis.

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