Meri Disoski exige que le quota des femmes ne soit pas suffisant pour une véritable égalité!

Meri Disoski exige que le quota des femmes ne soit pas suffisant pour une véritable égalité!

Österreich - Le 16 avril 2025, Meri Disoski, porte-parole des Verts, a reconnu l'augmentation du quota des femmes dans les conseils de surveillance comme un pas dans la bonne direction. Le nouveau règlement stipule que dans la moitié future des membres envoyés par le gouvernement fédéral devrait être des femmes dans ces conseils de surveillance. Malgré ces progrès, Disoski souligne que d'autres mesures sont nécessaires pour combler l'écart salarial spécifique au sexe qui existait. "L'égalité réelle nécessite plus de transparence, d'engagement et de justice", souligne-t-elle dans sa déclaration, dans laquelle elle exige également la nécessité d'une transparence de salaire obligatoire pour lutter contre l'inconvénient financier des femmes.

En Autriche, les femmes reçoivent moins mensuelles en moyenne qu'elles ont droit. Afin de procéder à cette injustice, Disoski suggère d'introduire la transparence des salaires pour les entreprises avec au moins 35 employés. Selon son avis, cette mesure pourrait avoir des effets positifs pour de nombreuses femmes en Autriche. Disoski a suscité une préoccupation correspondante comme un instant important pour les femmes. Il s'agit également de mettre en œuvre pleinement les exigences de la directive de l'UE "Women on Boards", qui exige un quota contraignant pour les femmes sur les conseils de surveillance et les membres du conseil d'administration.

Nouvelles réglementations de l'UE sur la transparence des salaires

2023 pour lutter contre la discrimination salariale. Ces réglementations visent à réduire l'écart salarial spécifique au sexe dans l'UE, car les femmes gagnent actuellement 13% moins par heure que les hommes. À l'avenir, les entreprises seront obligées d'échanger des informations sur les hauteurs salariales pour un travail équivalent entre les femmes et les hommes. Si l'écart salarial spécifique au sexe dépasse 5%, des mesures sont nécessaires.

Un élément central de cette directive est que les employés ont le droit de demander des informations sur les hauteurs moyennes du salaire, décomposées par sexe, pour un travail équivalent. Les employeurs doivent également fournir des informations sur les frais d'inscription ou la durée de rémunération dans les publicités d'emploi (pour les entreprises de plus de 100 employés). Les questions sur le développement salarial des candidats seront inadmissibles à l'avenir. Ces réglementations devraient aider à réduire la discrimination salariale et à accorder aux victimes des droits de discrimination salariale à l'indemnisation et aux paiements supplémentaires.

La pertinence pour l'Allemagne et l'UE

L'acceptation de la directive de transparence des salaires est considérée comme un signal fort pour les femmes en Europe. Le ministre fédéral des femmes, Lisa Paus, souligne que ces réglementations sont rapidement mises en œuvre dans le droit national. En Allemagne, l'écart salarial spécifique au sexe est en moyenne de 18%. Les employeurs de plus de 250 employés doivent déjà faire rapport sur le gradient salarial chaque année, tandis que les petites entreprises (initialement avec plus de 150 employés) doivent signaler tous les trois ans.

La directive publiée dans la Gazette officielle de l'UE nécessite de solides instruments de transparence des États membres d'ici juin 2026 au plus tard. En Allemagne, la Loi sur la transparence de la rémunération existe depuis 2017, qui promeut le principe de "salaire égal pour le même travail ou équivalent". Dans plusieurs jugements, le tribunal fédéral du travail a souligné la nécessité de raisons objectives et non discriminatoires de payer des différences et ainsi consolider davantage le cadre juridique de l'application de l'égalité.

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