PVA rejette les prothèses de main : le médiateur Achitz critique les autorités !

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Michael G. se bat pour une prothèse myoélectrique, PVA la rejette. Le Médiateur Achitz critique l'administration inefficace.

Michael G. kämpft für eine myoelektrische Prothese, PVA lehnt ab. Volksanwalt Achitz kritisiert die ineffiziente Verwaltung.
Michael G. se bat pour une prothèse myoélectrique, PVA la rejette. Le Médiateur Achitz critique l'administration inefficace.

PVA rejette les prothèses de main : le médiateur Achitz critique les autorités !

Dans un cas exemplaire des défis en matière de participation sociale, l'Agence d'assurance pension (PVA) a rejeté la demande de Michael G. pour une prothèse myoélectrique de l'avant-bras. Michael G., qui n'a plus de main droite depuis l'âge de 15 ans et qui dépend d'une prothèse non fonctionnelle, avait besoin de cette nouvelle prothèse pour accomplir plus efficacement ses tâches professionnelles. Il travaille dans une société commerciale et a besoin de la prothèse pour faire fonctionner les touches d'ordinateur et faire des présentations de produits, ce qui affecte considérablement sa capacité de travail.

Comme le rapporte ots.at, le PVA a demandé à Michael G. de tester la prothèse dans un centre de rééducation pendant deux semaines, ce qui a été un succès. Néanmoins, sa candidature a été rejetée en décembre, ce qui a eu sur lui un fort impact psychologique. Le Médiateur, représenté par Bernhard Achitz, critique le traitement inefficace de la demande. Celui-ci a d'abord été transmis à la Caisse autrichienne d'assurance maladie (ÖGK), où il est resté longtemps avant d'être restitué au PVA.

Critique de l'administration

Bernhard Achitz exige que les assurances sociales couvrent les coûts de la prothèse afin de permettre à Michael G. de travailler plus longtemps. Ce rejet est cité comme un excellent exemple de processus administratifs inadéquats et de manque de soutien aux personnes handicapées. Cela contraste fortement avec la Convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées (CNUDPH), qui appelle à la pleine participation des personnes handicapées à la vie sociale.

L'inclusion et la participation sont des thèmes centraux qui vont bien au-delà du cas individuel. Comme l'explique bpb.de, il n'existe pas de définition contraignante de l'inclusion, mais celle-ci est généralement comprise comme la participation égale de toutes les personnes, en particulier des personnes handicapées, à la vie sociale. À cela s'ajoute la nécessité pour les différentes institutions de s'ouvrir et de s'adapter aux besoins individuels des citoyens.

Perspectives et défis sociaux

Les défis sont évidents non seulement dans le cas de Michael G., mais aussi dans une perspective sociétale plus large. Il existe encore des barrières sociales qui discriminent les personnes handicapées dans la vie quotidienne. Les statistiques montrent que le taux de chômage des personnes gravement handicapées est supérieur à la moyenne et que nombre d'entre elles se sentent souvent seules et ont peu confiance dans les institutions politiques.

Afin de renforcer la participation des personnes handicapées, des mesures sont nécessaires, non seulement pour tenir compte de leur mode de vie individuel, mais aussi pour éliminer les barrières sociales. Cela correspond aux objectifs du livre IX du Code social et de la loi fédérale sur la participation, qui favorisent l'amélioration des possibilités de participation des personnes handicapées. Le débat sur l’inclusion a le potentiel de changer fondamentalement les structures de notre société pour le mieux et d’enrichir la vie de toutes les personnes impliquées.