L'UE dure comme le clou : le permis de conduire peut être retiré en cas d'infraction grave au code de la route !
Il existe un risque d’interdiction de conduire dans toute l’UE en cas d’infractions graves. Les nouvelles réglementations visent à accroître la sécurité routière et à garantir la rigueur.
L'UE dure comme le clou : le permis de conduire peut être retiré en cas d'infraction grave au code de la route !
Le 25 mars 2025, un accord préliminaire important a été conclu au Parlement européen et entre les États membres, apportant des changements profonds dans les transports européens. Des sanctions plus sévères sont prévues pour les contrevenants au code de la route, qui seront passibles d'une interdiction de conduire à l'échelle de l'UE en cas d'infractions graves. Cela s'applique particulièrement aux infractions graves telles que la conduite en état d'ébriété, les excès de vitesse et les accidents mortels. Fort vienne.at Ce règlement vise à garantir que les auteurs d'infractions routières graves soient tenus responsables dans tous les États membres proportionnellement à la gravité de leurs infractions.
Actuellement, les pays de l’UE ne sont autorisés à émettre des interdictions de conduire sur leur propre territoire que s’ils ont délivré un permis de conduire. Le nouveau règlement prévoit d'obliger l'État d'émission à adopter une interdiction de conduire sous certaines conditions et à l'appliquer dans toute l'UE. Cela pourrait avoir un impact significatif sur les contrevenants qui enfreignent les règles de la route en vigueur à l'étranger, car la suspension du permis de conduire s'appliquera également dans leur pays d'origine, comme par exemple echo24.de signalé.
Contexte de la réforme
Ce nouveau règlement vise principalement à lutter contre le nombre élevé de morts sur les routes dans l'Union européenne. Plus de 20 000 personnes sont concernées chaque année, ce qui souligne l’urgence d’une réforme. Le Parlement européen a déjà voté en faveur d'une réforme globale de la réglementation sur le permis de conduire afin non seulement d'accroître la sécurité routière, mais également de soutenir la transition écologique et numérique. L'accord n'est pas encore définitif, dans l'attente de l'approbation du Parlement européen et des États membres du Conseil, même si les détails du transfert et de la surveillance des données doivent encore être clarifiés. europarl.eu détermine.
La nouvelle législation s'appuie sur des mesures concrètes pour accroître la sécurité sur les routes. Les examens du permis de conduire devraient être plus complets ; par exemple, les futurs conducteurs doivent également être préparés à conduire dans des conditions météorologiques difficiles et à utiliser des systèmes d'aide à la conduite. L’objectif est de mieux préparer les conducteurs aux situations de conduite réelles et de protéger les usagers de la route vulnérables tels que les piétons et les cyclistes.
Détails et défis de mise en œuvre
Un élément central du règlement est qu'en cas d'infractions graves, une interruption de conduite d'au moins trois mois peut être imposée après épuisement de tous les recours légaux. Toutefois, les critiques mettent en garde contre d’éventuels problèmes de mise en œuvre et de coordination entre les pays, car l’introduction de telles mesures est souvent complexe et longue. Le ministre fédéral des Transports, Volker Wissing, soutient le règlement et le considère comme une étape nécessaire pour garantir une sécurité routière uniforme en Europe.
Les experts estiment que les nouvelles réglementations pourraient entrer en vigueur dès 2025. L'accord provisoire représente un progrès décisif dans la réforme future du droit de la route en Europe et dans son adaptation aux défis croissants.