Dak- en ThuislooSheid à West-Friesland: ETI S Chocolate vibrant!
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À West-Friesland, il y a actuellement 559 sans-abri, dont près d'un tiers des femmes et 16% d'enfants. Le plus grand groupe des personnes touchées vient de Hoorn, suivi d'Enkhuizen. Ces chiffres proviennent d'une enquête réalisée par les Kansfonds et le HotSchool Utrecht. De nombreuses personnes touchées par le sans-abrisme ne vivent pas dans la rue ou dans des logements spéciaux, mais passent la nuit avec des amis, des connaissances familiales ou peuvent être trouvés dans des conditions de vie difficiles, comme dans une voiture ou sur un camping.
Un exemple concis est l'histoire d'ETI, qui a dû passer la nuit avec ses deux petits fils, qui ont presque huit et cinq ans, dans une tente de trois personnes. Elle décrit cette fois comme l'un des points les plus profonds de sa vie. "À ce moment-là, j'ai réalisé que le sans-abrisme peut rencontrer tout le monde, même moi", a-t-elle déclaré. Juste au moment où l'hiver est entré et les températures sont tombées, la vie dans la tente est devenue presque insupportable, en particulier pour les enfants. Dans sa gratitude, elle raconte à quel point il était important d'avoir des amis à ses côtés qui les ont aidés en cette période difficile.
défis et offres d'aide
Malgré leurs efforts pour trouver du soutien, ETI a dû lutter avec de nombreux obstacles. Elle s'est tournée vers différentes organisations, mais l'aide nécessaire a échoué. "Personne ne pouvait aider, bien qu'en tant que mère, je voulais tout faire pour le bien-être de mes enfants", a déclaré son expérience frustrante. Un moment particulièrement difficile pour elle a été une visite au poste de police, où elle a demandé de l'aide. "Nous nous sommes tenus dans la rue et ne savions pas ce que nous devrions faire. Je pensais que nous y trouverions du soutien, mais nous n'avons eu qu'un verre d'eau. On m'a dit qu'ils n'étaient pas un bureau de médiation", a-t-elle poursuivi.
Aktuell vit avec ses fils dans un camping dans l'ouest de Friesland. Votre caravane peut être petite, mais offre un toit au-dessus de votre tête, ce qui dans votre situation est une étape importante vers plus de stabilité. Leur histoire est une indication urgente de la dimension cachée du sans-abrisme et de la facilité avec laquelle il peut également affecter les personnes dans des conditions de vie apparemment sécurisées.
L'enquête indique clairement qu'il n'y a pas seulement un problème d'itinérance dans la région, mais aussi un défi croissant pour les institutions pour fournir une aide appropriée. Le fait que de nombreuses personnes touchées vivent dans des conditions très précaires devraient se concentrer sur la nécessité d'une amélioration des systèmes de soutien. Quiconque pense que le sans-abrisme est un phénomène marginal devrait prendre ces histoires et réfléchir à la fréquence à laquelle cela se produit en secret.
Les chiffres de l'enquête montrent également qu'en plus des cas connus de sans-abri dans la rue, une énorme partie des personnes concernées reste invisible. Le problème ne se produit pas seulement dans les centres urbains; Il traverse toutes les classes sociales et peut affecter tout le monde, quels que soient les revenus ou les antécédents. Compte tenu de ces faits, il devient clair qu'une approche commune est nécessaire pour contrer le problème et donner aux gens comme ETI une chance d'une vie meilleure.
Les conversations sur les causes et les solutions possibles du sans-abrisme sont loin d'être complètes. Cependant, les rapports de personnes touchées comme ETI peuvent aider la société à développer une meilleure compréhension des défis profonds et souvent douloureux auxquels les sans-abri sont confrontés. Selon le rapport, la situation actuelle souligne l'urgence non seulement pour trouver des solutions à court terme, mais aussi pour développer des mesures à long terme qui aident à emballer ce problème complexe à la racine.
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