Campus médical de Coblence : démarrage reporté à 2025 – et maintenant ?

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L'avenir du GKM et de l'hôpital Mayener reste incertain, tandis que le campus médical de Coblence est reporté à 2025.

Campus médical de Coblence : démarrage reporté à 2025 – et maintenant ?

Quartier Mayen-Coblence.La pénurie de médecins en Allemagne devient de plus en plus urgente et le nouveau campus médical de Coblence était censé sauver la situation ! Mais voici qu'une nouvelle choquante arrive : le démarrage du projet sera reporté au semestre d'été 2025 ! Les électeurs libres Mayen-Rhin moyen-Moselle (FWM3) sont consternés par ce retard, qui représente un nouveau revers dans l'amélioration urgente des soins de santé. Les capacités de formation du centre médical universitaire de Mayence sont déjà à leurs limites et l'espoir d'avoir davantage d'étudiants en médecine s'amenuise !

Le FWM3 se bat depuis des années pour maintenir et développer les soins médicaux dans le district de Mayen-Coblence. « Le gouvernement de l’État doit enfin agir ! » demande Hans Georg Schönberg, membre du conseil de district de la FWM3. Le retard sur le campus médical de Coblence n’est pas seulement un petit revers, mais un signal sérieux indiquant que les soins de santé dans la région sont au bord du gouffre. La sécurisation du site du GKM à Mayen et de l'hôpital communautaire du Rhin moyen dépend plus que jamais du soutien financier du Land de Rhénanie-Palatinat. Le FWM3 considère que le gouvernement de l'État a l'obligation de remplir enfin ses exigences légales et ses obligations de financement dans le secteur hospitalier !

Il est urgent d’agir !

L’avenir de l’hôpital communautaire du Rhin moyen est en jeu ! Les électeurs libres soulignent que les soins médicaux hospitaliers dans les zones rurales constituent la priorité absolue. Les considérations économiques ne devraient pas être au centre des préoccupations ici ! Il est particulièrement important de maintenir des services spécialisés tels que la chirurgie viscérale à l'hôpital Elisabeth de Mayen afin de garantir un statut de soins standard. La pression sur le gouvernement de l’État augmente et le temps presse !