Exchange d'échange contre les réfugiés: CSU met en garde contre la ruse sur la carte de paiement

Exchange d'échange contre les réfugiés: CSU met en garde contre la ruse sur la carte de paiement

München, Deutschland - En Bavière, une nouvelle initiative assure des discussions controversées sur la situation des réfugiés. Cette initiative, sous le nom "Open!" La société a développé un système d'échange qui est censé gérer la carte de paiement des réfugiés introduits par la CSU. Cette mesure vise à éviter la discrimination supposée contre les personnes touchées et en même temps offrir une solidarité pratique.

La carte de paiement utilisée en Bavière depuis juin permet aux réfugiés de retirer 50 euros par mois en espèces et donc de magasiner dans des supermarchés. Les critiques de la carte, comme l'initiative de Munich, soutiennent que cette limitation est non seulement inadéquate, mais limite également les options d'intégration des réfugiés. Selon l'initiative, l'échange de bons de supermarchés contre les espèces est un moyen, comment les réfugiés peuvent effectuer ces restrictions.

CSU voit "ruse" et appelle des sanctions

Le CSU a immédiatement réagi aux échanges et parle d'une "ruse". Mechthilde Wittmann, porte-parole domestique du groupe national CSU dans le Bundestag, souligne que le système de cartes de paiement a été introduit pour éviter les abus. Elle considère l'activité d'échange comme une attaque directe contre le système social et appelle à un examen juridique précis de ces activités. Selon Wittmann, cela pourrait être une subvention pour une violation de la loi sur le rendement des demandeurs d'asile, ce qui pourrait entraîner des amendes.

Les avocats du groupe de travail de la CSU ont demandé dans un document de décision de contrer le "contournement ciblé" du système avec des "sanctions raisonnables". Cela illustre le scepticisme de la CSU par rapport aux échanges qu'elle considère comme un soutien potentiel pour enfreindre les règles.

Examen de la carte de paiement et de ses critiques

La carte de paiement elle-même est sous observation critique depuis son introduction. Des experts, dont Hans Vorländer, président du Conseil des experts pour l'intégration et la migration, expriment des inquiétudes quant à l'efficacité du système. Il souligne que les connaissances scientifiques montrent que les avantages sociaux ne sont pas une raison majeure pour que les réfugiés quittent leur pays d'origine. Au lieu de cela, ils suivent les intérêts de sécurité et de survie.

Vorlände souligne que la carte de paiement devrait réellement servir à simplifier les processus administratifs, mais cela ne peut fonctionner qu'avec un règlement uniforme dans toutes les municipalités. Le système actuel est comme un "patchwork" et conduit à des coûts inutiles, car de nombreuses villes développent leurs propres systèmes au lieu de travailler ensemble.

La critique de la carte de paiement n'est pas unilatérale; La gauche a également parlé. Le membre de la Bundestag Susanne Ferschl voit la carte de paiement une distraction des mesures politiques de base pour lutter contre les causes du vol. Au lieu de se concentrer sur les solutions populistes, elle exige un examen sérieux des véritables défis devant lesquels les réfugiés sont confrontés.

Au milieu de ce débat, la question demeure comment les besoins des réfugiés doivent être traités. L'initiative "Open!" Montre qu'il existe des alternatives, mais le discours politique reste vif. Alors que la CSU considère les échanges comme une menace pour le système social, d'autres soutiennent qu'une repense est nécessaire pour trouver une solution équitable et intégrative pour les défis dans le domaine de la migration.

Plus d'informations sur ce sujet peuvent être trouvées dans un rapport sur www.tz.de .

Details
OrtMünchen, Deutschland

Kommentare (0)