Embouteillages et chantiers : les problèmes de circulation à Neubrandenbourg en 2024
Neubrandenburg sera confronté à des chantiers de construction et à des problèmes ferroviaires en 2024. Toutefois, l'infrastructure devrait être améliorée en 2025.

Embouteillages et chantiers : les problèmes de circulation à Neubrandenbourg en 2024
En Mecklembourg-Poméranie occidentale, l'achèvement du contournement de Neubrandenbourg représente un progrès infrastructurel important. D'après le rapport de DEGES La dernière phase de construction s'est achevée avec succès, permettant au trafic de traverser un nouveau pont sur les voies de la Deutsche Bahn. Cela facilitera la vie des résidents et des navetteurs, qui seront moins affectés par le bruit et les gaz d'échappement. Il est désormais possible de soulager la circulation dans les centres-villes en réduisant le nombre d'entrées auparavant sujettes aux embouteillages.
Chantiers de construction et hausses de coûts importantes
Mais tout n’est pas rose. La B 96 reste un problème non résolu et continue de représenter un « seuil de douleur » pour la région. Le débat sur la nécessaire expansion s'éternise depuis longtemps, tandis que les travaux de construction dans la zone sont au point mort malgré les protestations de 2024, alors que le Courrier du Nord signalé. Les coûts du nouveau pont vers l'île d'Usedom, dans la mer Baltique, ont désormais plus que doublé, passant des 138 millions d'euros initiaux à 287 millions d'euros.
En outre, les voyageurs ferroviaires se plaignent des liaisons catastrophiques dans la région de Neubrandenbourg, car pratiquement aucun train ne circulera jusqu'en février 2025 en raison de travaux de construction et de défauts de matériaux. La réaction dite du « cancer du béton » a nécessité de vastes rénovations. Les passagers mécontents sont contraints d'opter pour la voiture tandis que les automobilistes de la région doivent se préparer à des voyages patients alors que d'importants travaux routiers mettent à l'épreuve la patience de tous les usagers de la route. Malgré ces difficultés, l’ADAC s’attend à une prévision de congestion positive pour 2025 avec un retard moyen inférieur à dix minutes par heure de trajet.