L'employé de Kaufland poursuit pour un vol présumé!

à Brandenburg an Der Havel, un employé de Kaufland nommé Karola S. se traduit par le tribunal de travail de Berlin-Brandenburg (LAG). La vendeuse employée en 1992 à Kaufland a intenté une action contre son licenciement, qui a été exprimée en raison de la suspicion de vol. L'accusation est qu'elle a délibérément volé huit packs de soins, qui nie avec véhémence Karola S.

L'incident s'est produit en août 2023 lorsque Karola S. a payé son achat avec une carte d'argent. Les packs de gardiens n'ont pas été scannés et sont donc restés inaperçus. Le lendemain, elle a été invitée à une discussion du personnel dans laquelle un accord de résiliation a été proposé. Sous pression pour éviter une éventuelle plainte pénale, elle a signé ce contrat. Le Conseil des travaux lui a également demandé d'admettre ce qu'elle aurait volé, que Karola S. perçoit comme une menace inappropriée.

poursuivre en justice et examen juridique

Son avocat, Simon Daniel Schmedes, déclare que la menace était injuste et qu'elle s'était accablée par sa confession. Karola S. affirme qu'il n'a pas remarqué le déficit lorsqu'il quittait l'entreprise. Cela a été rejeté par l'appel de Karola S. et a été justifié. Les juges ont considéré la confiance brisée qui est apparue comme décisive en raison de la suspicion de vol. La quantité de dégâts a joué un rôle subordonné.

Selon le cadre juridique général, un employé qui commet le vol dans le cadre de son travail peut être licencié sans préavis. La valeur de l'objet volé est généralement hors de propos, car le vol affecte considérablement la relation de confiance entre les employeurs et les employés. Une résiliation sans préavis doit généralement être prononcée dans les deux semaines suivant l'annonce des raisons de la résiliation.

Simon Daniel Schmedes a déjà annoncé qu'il informerait le tribunal fédéral du travail à Erfurt afin de contester la décision du décalage.