Georgescu exclu : les élections présidentielles roumaines dans le chaos !
La Cour constitutionnelle roumaine confirme l'exclusion du candidat pro-russe Georgescu avant l'élection présidentielle de mai 2025.
Georgescu exclu : les élections présidentielles roumaines dans le chaos !
En Roumanie, le rejet de la candidature du politicien pro-russe et d'extrême droite Călin Georgescu fait grand bruit. Mardi, la Cour Constitutionnelle a décidé de confirmer le rejet de la Commission électorale centrale et de rejeter l'appel de Georgescu. Dimanche, la commission électorale avait initialement rejeté l'appel de l'homme de 62 ans parce que ses actions étaient en forte contradiction avec les exigences de la fonction de président. Cette décision fait suite à l'annulation du premier tour de l'élection présidentielle en décembre dernier en raison de soupçons d'ingérence étrangère, notamment russe. Dans la couverture médiatique de oe24 Il est souligné que Georgescu ne peut désormais plus engager de poursuites judiciaires, ce qui signifie la fin définitive de sa candidature.
La nouvelle élection présidentielle du 4 mai prochain soulève des questions importantes. Avec Georgescu comme figure éminente du camp d'extrême droite, il n'y a désormais aucun candidat officiel et la date limite de candidature se termine le 15 mars. Les observateurs politiques soupçonnent George Simion, le leader du parti populiste de droite AUR, d'être considéré comme son successeur. La décision de la commission électorale n'a pas été sans répercussions sociales, puisque les manifestations de ses partisans à Bucarest se sont soldées par de violents affrontements, tandis que la police a utilisé des gaz lacrymogènes, comme nouvelles quotidiennes signalé.
Georgescu lui-même, une personnalité politique controversée, fait face à des accusations criminelles en plus d'être rejeté aux élections. Il est accusé d'avoir agi contre l'ordre constitutionnel et d'avoir fondé une organisation fasciste. Même s'il est en liberté, ses déclarations sur la situation politique en Roumanie restent provocatrices : « La Roumanie vit sous la tyrannie ». Sa candidature avait initialement gagné du soutien, mais le grand nombre d'objections à sa candidature laisse présager une campagne électorale plus mouvementée.