Le président de la Corée du Sud est inculpé en raison de la loi sur le soulèvement et la guerre
Le président de la Corée du Sud est inculpé en raison de la loi sur le soulèvement et la guerre
Les procureurs sud-coréens ont inculpé le président Yoon Suk Yeol en raison de plantes soulèves après avoir brièvement proclamé l'état d'urgence. Il est le premier président sortant de l'histoire du pays qui a été inculpé.
Contexte de l'acte d'accusation
Le président Yoon a tenté d'imposer la loi de guerre début décembre, que le pays est tombé dans une crise politique. Cependant, la décision a été annulée par le Parlement en quelques heures.
Arrestation et conditions de détention
Yoon, qui a contesté toute faute, est en détention depuis son arrestation la semaine dernière. Le président controversé était dans sa résidence sécurisée pendant des semaines, entouré de son équipe du service de sécurité présidentielle, avant de finalement quitter le site dans un cortège avec les enquêteurs.
Tentatives manquées pour arrêter
Le bureau sud-coréen pour les enquêtes sur la corruption sur les fonctionnaires élevés (CIO) avait déjà tenté de l'arrêter au début de ce mois. Cependant, après une réunion de plusieurs heures, cela a échoué dans lequel les soldats et les membres du Service de sécurité présidentiel ont empêché 80 policiers et enquêteurs d'entrer dans le palais présidentiel.
Conséquences pour la conviction
En cas de condamnation, il menace d'être prison ou même de la peine de mort, bien qu'aucune exécution n'ait été effectuée en Corée du Sud depuis des décennies.
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