Santé mentale dans les écoles de Vienne: un pas vers le tort

Santé mentale dans les écoles de Vienne: un pas vers le tort

Les défis mentaux auxquels les élèves sont confrontés de nos jours sont polyvalents et complexes. Depuis trois ans, une initiative organise les «jours de santé mentale», dans les écoles de Vienne pour offrir des informations et un soutien dans ce sujet important. Ces programmes, qui sont également financés par les Mertmillion So-appels de la ville, ont gagné en importance ces dernières années et sont maintenant en cours dans 150 écoles de la ville.

Le vice-maire et conseiller municipal Christoph Return (NEOS) a souligné l'importance de cette initiative lors d'une visite actuelle à l'école professionnelle Embelgasse. Au cours de l'atelier, il a rappelé que les écoles ne sont pas seulement des lieux d'apprentissage, mais aussi des salles dans lesquelles le bien-être des élèves devrait être au premier plan. Il est d'une importance centrale de donner aux jeunes la possibilité de parler de leur stress et de reconnaître les bonnes offres d'aide.

L'histoire d'arrière-plan

Les motifs d'introduction de ces jours sont profonds et personnels. Golle Marboe, l'initiateur du programme, raconte sa propre tragédie: il y a six ans, son fils s'est suicidé, et cette perte douloureuse a conduit à la réalisation que la connaissance de la santé mentale fait souvent défaut. Marboe veut aider d'autres familles à éviter des situations similaires. Le programme offre une approche pratique. Dans les ateliers, les élèves apprennent à reconnaître les différences entre la simple tristesse et la dépression grave et à discuter ouvertement de ces sujets.

Les ateliers durent deux heures et sont conçus pour aider les participants à mieux comprendre eux-mêmes et les autres. Des sujets tels que la pression pour effectuer, l'image de soi corporel et la perception consciente de ses propres sentiments sont au centre. L'objectif est d'encourager les élèves à parler de leurs problèmes, ce qui est considéré comme un signe important de force.

Le retour souligne à quel point il est essentiel de réduire la stigmatisation autour des maladies mentales. La manipulation ouverte devrait conduire au fait qu'il prendra le soutien aux étudiants pour rechercher un soutien si nécessaire - car on le ferait en cas de blessure physique.

Le directeur de l'école professionnelle, Daniela Kirnbauer, ajoute que les défis dont de nombreux élèves se tiennent devant sont non seulement émotionnellement, mais aussi pratiques. Les apprentis passent souvent peu de temps à l'école, ce qui crée une pression supplémentaire. Les «jours de santé mentale» offrent un cadre pour parler de cette pression et développer des stratégies qui favorisent une vie scolaire quotidienne positive.

Une autre étape pour soutenir les étudiants sera l'introduction de leurs propres équipes PSD (service psychosocial). À partir du 1er novembre, ces équipes, composées de psychologues et de travailleurs sociaux, seront disponibles dans 52 emplacements scolaires. Ils sont également utilisés pour traiter des cas aigus d'intimidation, de dépression ou de violence. Les écoles peuvent demander le soutien de ces équipes via une hotline, qui ajoutera un autre élément important aux soins des étudiants.

Dans l'ensemble, l'objectif des "jours de santé mentale" n'est pas seulement d'informer de la santé mentale, mais aussi de créer une offre d'aide fortement en réseau et d'augmenter considérablement la sensibilisation à ce sujet. De plus amples informations sur cette initiative importante peuvent également être trouvées dans www.meinbezirk.at .

Kommentare (0)