Controverse autour de la réouverture du club cící dans un nouveau bâtiment
Controverse autour de la réouverture du club cící dans un nouveau bâtiment
Un duel passionnant entre la gastronomie, la politique et les défis juridiques s'est déroulé dans la Mariahilferstrasse occupée. Martin Ho, une "gastronomie de scène" proéminente, est au centre d'une controverse qui tourne autour du club de nuit "Cící". Dimanche, Ho via Instagram s'est tourné vers le chef du district vert Markus Reiter pour défendre sa position. Reiter a décidé de ne pas réouverture prévu de l'ancien "club Hidden" dans la nuit d'Halloween, qui pour le moment a réussi: le club n'a reçu aucune approbation pour l'événement.
Mariahilferstrasse, en tant que plus grande rue commerçante d'Autriche, joue un rôle crucial dans cette histoire. Bien que Ho soit considéré comme l'opérateur du Night Club, il n'a pas été officiellement impliqué dans un rôle d'entreprise depuis le 6 novembre. Cette ambiguïté soulève de nombreuses questions: pourquoi Ho se bat est-il si avec véhémence pour un club qui n'est plus en sa possession? Et qu'est-ce qui pousse les coureurs à empêcher le retour du club?
un mélange de bonbons et de vie nocturne
En outre, les coureurs ont exprimé des inquiétudes concernant les "paiements en suspens" qui remontent à plus de 44 employés qui attendent toujours leur salaire du groupe de points insolvables. Un acte d'accusation spécial contre HO est le fait que le "club Hidden" d'origine a été enregistré comme magasin de bonbons avant de devoir fermer en décembre 2023.
Le Night Club a maintenant rouvert sous le nouveau nom "Cící" et vend également des bonbons. Le 18 septembre, le directeur général du DOTS Club GMBH a demandé à modifier le nom de la société dans "XXKXIX GMBH". Le magistrat a été invité à examiner attentivement la situation financière de HO, car ses activités ont remarqué très négativement ces dernières années. Étonnamment, le club "Cící" a finalement reçu la permission de son ouverture après une vague d'incertitudes le 9 novembre.
Le directeur général Christian Edy serait étroitement lié à Martin Ho et a été celui qui a demandé l'approbation du club. Il n'est pas étranger à la scène du club de Vienne et mène également d'autres établissements tels que le "Prater Sauna". Dans le jeu pour les permis et les licences, la question des relations commerciales et de la situation économique se pose dans les coulisses.
Attaques mutuelles sur les réseaux sociaux
Bien que Ho se retire officiellement de la direction de "Cící", il a vivement parlé sur Instagram et s'est moqué de la décision de Reiter. Avec le hashtag "#AINNOBODYFUCKINGWithmyclique", Ho signale qu'il n'acceptera pas ce type d'interventions politiques. Avec sa position, Reiter, en revanche, poursuit le respect des réglementations juridiques et une coexistence harmonieuse dans le district.
L'apparition des médias sociaux d'Edy était plus douce. Il a exprimé sa gratitude envers les autorités et a montré de la compassion avec ceux qui ont été déçus en raison des retards. Compte tenu de cette confrontation, il reste à voir comment la situation se développera. La lutte pour les permis et l'opinion publique se poursuivra certainement.
Les conditions complexes entre les acteurs de la scène de la restauration et le paysage politique illustrent à nouveau à quel point les intérêts économiques et la politique locale sont étroitement liés. Un autre aspect est l'incertitude qui existe dans l'industrie, en particulier pour les employés du groupe DOTS qui doivent attendre des salaires exceptionnels.
En résumé, on peut indiquer que l'argument entre Martin Ho, Markus Reiter et le club de nuit "Cící" assume des dimensions juridiques et personnelles, ce qui pourrait faire la une des journaux dans un avenir proche. Le résultat de cet argument reste incertain, tout comme le sort de la vie nocturne sur Mariahilferstrasse.
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