Corruption à Istanbul: Imamoglu et 40 arrêtés dans la réticule!

In Istanbul sind Korruptionsermittlungen gegen Bürgermeister Imamoglu und hohe Beamte im Gange, zahlreiche Festnahmen folgten.
À Istanbul, des enquêtes sur la corruption contre le maire Imamoglu et les hauts fonctionnaires sont en cours, et de nombreuses arrestations ont suivi. (Symbolbild/DNAT)

Corruption à Istanbul: Imamoglu et 40 arrêtés dans la réticule!

Istanbul, Türkei - Dans Istanbul, le climat politique devient de plus en plus tendu. Vendredi, plus de 40 suspects ont été arrêtés dans le contexte des enquêtes sur la corruption contre le maire Ekrem Imamoglu. Le procureur accuse Imamoglu et d'autres fonctionnaires élevés pour mener une organisation criminelle. Les allégations incluent la corruption, la fraude et la manipulation pour les appels d'offres. Parmi les arrêtés figurent le patron du service de sécurité d'Imamoglus et le secrétaire général adjoint de l'administration de la ville. Certains des suspects ont été libérés dans des conditions, notamment une barrière de sortie, comme Kleine Zeitung rapportée).

L'arrestation d'Imamoglu, un éminent rival du président Recep Tayyip Erdoğan, a déclenché des manifestations nationales en Turquie. Les critiques considèrent les allégations comme une tentative ciblée du gouvernement d'éliminer un adversaire politique. Imamoglu lui-même rejette les allégations comme "immorales et infondées". Il doit être porté devant un juge tandis que le bureau du procureur lui demande la garde. Dans l'enquête, il est également sous pression sur le soupçon de soutenir le parti des travailleurs kurdes interdits PKK. La Situation est en outre accablée par les escalades dans les manifestations, dans lesquelles la police a utilisé du gaz poivré contre les manifestants, comme [monde] (https://www.welt.de/politik/ausland/article25576512/tuerkischer-opplositiontplungsplungspositionSplungsplungsplungspositionSplungsplungsplungsplungsplungsplungsplungsplungsplungsplose.

Contexte politique et répression

Imamoglu n'est pas seulement un acteur politique important, mais aussi le maire d'une métropole qui est d'une importance centrale pour l'opposition turque. Les tensions politiques en Turquie sont le produit du contrôle de plus en plus intensifié du gouvernement sur la presse et la liberté d'expression. Le président Erdoğan, qui est au pouvoir depuis plus de 21 ans, a gravement limité la liberté en Turquie et fait de plus en plus confronté à sa politique de pouvoir. Depuis l'échec de la tentative de coup d'État en 2016, la pression sur les voix critiques a encore augmenté, telles que le BPB.

Les incidents actuels sont également à la légère sur la suppression systématique des voix d'opposition et la difficulté des activités politiques. Le diplôme universitaire n'a pas seulement été révoqué - une condition préalable à un éventuel candidat à la présidentielle - la supervision turque des médias Rtük menace également les médias avec des sanctions qui rapportent les manifestations. Ces mesures montrent à quel point le gouvernement essaie de prévenir les rapports critiques et d'éliminer toute forme de résistance.

Les protestations contre les arrestations et les représailles politiques associées indiquent que la méfiance et le ressentiment augmentent parmi la population. Le parti d'opposition CHP prévoit de nommer l'imamoglu en tant que candidat à la présidentielle si l'autorité électorale accepte les conditions nécessaires. Il reste à voir le résultat de ces différends, tandis que les libertés démocratiques en Turquie sont toujours sévèrement restreintes.

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OrtIstanbul, Türkei
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