Crise de santé au Danemark: le risque de pauvreté augmente les erreurs de médicaments!

Crise de santé au Danemark: le risque de pauvreté augmente les erreurs de médicaments!

Gerichtstraße 27, 13347 Berlin, Deutschland - Une étude actuelle d'Amanda Paust et des co-auteurs, publiée dans la revue "PLOS Medicine", met en évidence les tendances alarmantes des médicaments, en particulier parmi les groupes socialement défavorisés. L'enquête est basée sur une étude nationale au Danemark avec 177 495 participants et se consacre au problème des médicaments potentiellement inappropriés (PIM) et de leurs conséquences sur la santé. Les résultats montrent qu'il existe des inégalités sociales considérables malgré un système de santé universel.

L'étude a abouti à un taux d'erreur potentiel élevé en soins médicamenteux, 14,7% des participants étant exposés au PIM. Le sous-approvisionnement (start-pIM) est particulièrement inquiétant, qui s'est produit le plus souvent à 12,5%. En revanche, une offre excédentaire de 3,1% a été trouvée. Les données illustrent à quel point la situation sociale influence la qualité du traitement. Les personnes ayant moins d'actifs ont un risque de PIM de 85% plus élevé que le groupe le plus riche, tandis que les revenus inférieurs augmentent le risque de 78% et un faible niveau d'éducation de 66%.

Déterminants sociaux de la santé

Ces résultats sont conformes aux résultats du Robert Koch Institute, qui analyse les déterminants sociaux des inégalités de santé et de santé. L'institut traite de divers aspects, notamment l'inégalité sociale, le monde du travail, la migration et les différences régionales. Les données sont basées sur une surveillance complète de la santé et des analyses épidémiologiques et montrent que les inégalités sociales de la santé et de la maladie sont un phénomène universel qui dépend des différentes caractéristiques de la différenciation sociale.

En outre, il devient clair que les personnes ayant un faible soutien social ou les réseaux sociaux restreints, tels que les immigrants et socialement plus faibles, ont un risque accru de polypharmacie. Cette forme de médicament peut potentiellement causer plus de dommages que les avantages, un fait qui doit être traité de toute urgence.

Mesures et recommandations politiques

L'étude recommande des mesures politiques concrètes pour réduire l'utilisation inappropriée des médicaments et améliorer la justice de la santé. La nécessité de traiter les inégalités de santé est en outre soulignée par la variation des risques de maladie à l'âge adulte moyen et plus élevé, qui se caractérise par des influences de la petite enfance. En résumé, la recherche actuelle montre non seulement les problèmes urgents de la fourniture de drogues, mais appelle également un débat de grande envergure sur la mobilité sociale, le revenu et l'accès éducatif pour promouvoir la santé de la population de manière durable. Compte tenu des résultats énoncés, il est essentiel d'améliorer le cadre de la santé des groupes défavorisés. On peut déjà constater que l'inégalité sociale influence considérablement la santé et le bien-être de nombreuses personnes.

Pour plus d'informations sur les déterminants sociaux de la santé, nous nous référons au Robert Koch Institute et au sujet spécifique des inéqualités sociales à la santé [Bioeg] (https: // leit terms.bioeg.de/alphabetisches-bistei/sozial-ung leichtheit-und-gesundheit-kinheit /).

L'analyse approfondie des défis de la santé concernant les groupes socialement défavorisés fait référence au besoin urgent d'action pour améliorer les soins de santé. Les résultats de l'étude de [Kleine Zeitung] (https://www.kleinezetung.at/service/newsticker/chronik/19716781/ermemeremere-mit-hohem- Risiko-fuer-schlechte-gerundheit sont une forte plaidoyer pour des interventions complètes et des mesures politiques.

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OrtGerichtstraße 27, 13347 Berlin, Deutschland
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