Premier bruit de coalition: différend de salaire minimum avant de signer le contrat!
Premier bruit de coalition: différend de salaire minimum avant de signer le contrat!
Deutschland - entre les chrétiens et les sociaux-démocrates en Allemagne a un différend sur l'augmentation du salaire minimum légal, et cela avant que l'accord de coalition ait été signé. Le secrétaire général de la CDU, Carsten Linnemann, a clairement indiqué qu'il voulait exclure un "salaire minimum politique" et adhérer à l'accord de coalition existant. Cela se produit malgré la pression du secrétaire général du SPD Matthias Miersch, qui appelle une augmentation du salaire minimum. Le salaire minimum en Allemagne est actuellement de 12,82 euros, tandis que le SPD vise une augmentation à 15 euros par heure. La discussion sur le salaire minimum est plus compliquée par l'indépendance de la Commission, qui en est responsable, qui se compose d'employeurs et de représentants des employés.
Linnemann s'est exprimé optimiste et a considéré un salaire minimum de 15 euros à atteindre, mais a souligné que la commission avait pris la décision finale. Miersch a menacé que le SPD prenne des mesures politiques en cas de non augmenter par la Commission. Il a fait référence à l'augmentation du salaire minimum à 12 euros en 2022 par le gouvernement du "feu de circulation", ce qui indique clairement qu'il existe un développement attendu en termes de salaires.
Enquête d'adhésion au SPD et au cours politique
Une enquête membre est actuellement en cours dans le SPD au sujet du projet de contrat de coalition, qui doit être approuvé par la base du parti avant de pouvoir être signé. Le résultat de ce vote sera annoncé le 30 avril. La CSU a déjà approuvé le contrat, tandis que la CDU décidera le 28 avril dans un petit congrès du parti. Le patron de la CDU, Friedrich Merz, pourrait être élu chancelier dans le Bundestag le 6 mai si tout se passe dans les délais.
Un sujet qui ne concerne pas seulement les parties de Bundestag est l'érosion du système de contrat de négociation collectif en Allemagne qui progresse depuis longtemps. Dans les années 1990, la négociation collective était encore de près de 80% et est maintenant tombée à moins de 50%. En 2022, seulement 29% des employés du secteur privé avaient un accord collectif. Cette évolution est due à de nombreux facteurs, notamment l'augmentation du secteur des services et la fragmentation des petites entreprises.
avenir des accords collectifs et des discussions sur le salaire minimum
L'introduction du salaire minimum statutaire en 2015 a été une étape cruciale, mais la discussion continue sur son montant reste centrale. Le DGB appelle à diverses mesures, notamment en facilitant la déclaration générale des accords collectifs et une loi fédérale de fidélité tarifaire pour garantir que les ordonnances publiques ne sont affectées qu'aux sociétés de négociation collective.
La Craffic Light Coalition avait promis le renforcement de l'obligation tarifaire dans l'accord de coalition, mais jusqu'à présent n'a fait qu'augmenter une augmentation du salaire minimum. Alors que le SPD prévoit une augmentation à 15 euros d'ici 2026, il existe différents points de vue: la CDU / CSU favorise une décision de la Commission du salaire minimum et les Verts s'efforçant d'augmenter à 15 euros en 2025. La gauche appelle une adaptation annuelle à l'inflation, tandis que le FDP rejette les interventions politiques à la Commission minimale du salaire.
Dans l'ensemble, la discussion actuelle sur le salaire minimum et la négociation collective en Allemagne montre un large éventail d'idées des parties, qui vont des mêmes objectifs pour effacer les différences.
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