Parents sous pression: jusqu'à 2 500 euros de punition pour les refuseurs de la maternelle!

Parents sous pression: jusqu'à 2 500 euros de punition pour les refuseurs de la maternelle!

Niederösterreich, Österreich - L'Autriche resserre de plus en plus son cours aux parents qui refusent de collaboration avec les établissements d'enseignement. En particulier, l'accent est mis sur les parents non créditeurs dans le bas de l'Autriche, où le Parlement de l'État a été décidé d'introduire des amendes pouvant aller jusqu'à 2 500 euros pour les tuteurs légaux qui refusent de coopérer avec le personnel de la maternelle. Cette mesure reçoit le soutien du gouverneur Johanna Mikl-Leitner (ÖVP), qui la considère comme faisant partie d'une lutte plus complète contre le refus d'intégrer. L'introduction de ces punitions dans la zone de maternelle doit être effectuée à l'automne 2025, comme [Kosmo.at] (https://www.kosmo.at/bis-zu-2-500-euro-weiger-eltern-drohen-safigen-strafen-a - im-kindergarten/).

Au niveau fédéral, le ministre de l'Éducation, Christoph Return (NEOS), prévoit d'étendre le modèle autrichien inférieur dans les écoles à travers le pays. Le retour indique clairement qu'il est inacceptable si les parents refusent de parler au personnel enseignant. Les plaintes croissantes de la gestion des écoles concernant les parents non coopératives, en particulier en ce qui concerne l'intimidation et la violence, ont promu cette étape. Le ministère de l'Éducation travaille sur une base juridique pour les sanctions administratives qui doivent être utilisées comme dernier recours pour le refus permanent.

Conversations simples en tant que préalable

Le plan de niveau du gouvernement fédéral stipule que les sanctions financières ne sont utilisées qu'après que toutes les autres options soient épuisées. De cette façon, une invitation obligatoire aux discussions est donnée. En cas de refus, les sanctions administratives annoncées menacent alors. Le retour souligne que la prévention et l'illumination ont une priorité avant de prendre des mesures strictes. En Haute-Autriche, on montre également l'approbation de cette initiative; La responsable de l'éducation Christine Haberlander (ÖVP) soutient les réglementations prévues pour les jardins d'enfants et les écoles.

La discussion sur les règles de la maternelle est menée dans le contexte selon lequel un modèle de sanction correspondant est également prévu pour les écoles, mais prendra toujours du temps. Selon The Press, le modèle de sanction ne sera pas mis en œuvre dans l'actuel et probablement pas au cours de la prochaine année scolaire. Le ministère de l'Éducation ne peut actuellement estimer la fréquence à laquelle ces sanctions seront nécessaires.

Soutien pour les enseignants

Les politiciens de l'État soutiennent l'introduction des sanctions en dernier recours. Le conseiller d'État de Carinthia, Daniel Fellner (SPö), voit cela une mesure raisonnable, tandis que d'autres, comme Stefan Hermann (FPö), veulent initialement s'abstenir d'amendes et observer les développements dans d'autres États fédéraux. Il y a des préoccupations pour les familles à faible revenu et les difficultés de communication possibles, mais le ministère offre aux interprètes pour réduire les barrières linguistiques ou culturelles.

Enfin, les objectifs de ces mesures sont clairs: la pression sur les parents qui ne veut pas intégrer doit être augmentée et les enseignants devraient être soutenus en même temps pour assurer une atmosphère scolaire respectueuse. Le modèle de sanction planifié, ancré dans le programme gouvernemental de ÖVP, SPö et NEOS, représente une étape importante vers une coopération accrue entre les parents et les établissements d'enseignement afin d'offrir aux étudiants un environnement d'apprentissage sain, rapporte Vol.at.

Details
OrtNiederösterreich, Österreich
Quellen

Kommentare (0)