Scandale autour de l'ORF: violations massives découvertes du côté bleu!
Scandale autour de l'ORF: violations massives découvertes du côté bleu!
L'ORF est exposé à des allégations massives parce que le "côté bleu" (orf.at) a violé sa propre loi. Selon cette loi, 350 contributions hebdomadaires et une limitation spéciale de la longueur du texte sont fournies. Il s'avère que l'Oönachrichten a compté un total de 522 rapports, ce qui est bien au-dessus du nombre autorisé. Les violations qui en ont résulté ont été fortement critiquées par divers représentants des médias et l'opposition. Henrike Brandstötter des NEOS a décrit la situation comme une loi claire. Ces allégations mettent en lumière le respect des lois sur les médias en Autriche.
Le problème s'est resserré lorsqu'il est devenu connu que le 3 mai 2023, 14 journaux quotidiens nationaux sont restés vides en une journée pour protester contre la loi prévue de l'ORF. Dans ce contexte, l'Association des journaux autrichiens (Vöz) a trouvé la situation injuste parce que l'ORF offre des informations gratuites avec ses grandes équipes éditoriales, tandis que d'autres maisons médiatiques dépendent des abonnements payants. Un autre aspect de ce débat a été décidé le 5 juillet 2023, lorsque les parties gouvernementales ÖVP et Greens ont décidé de la loi de l'ORF avec des restrictions claires sur l'apparition sur Internet de l'ORF.
Réactions et déclarations
La conseillère de la Fondation ORF, Katharina Hofer, a été surpris par les violations et a expliqué que le sujet n'était pas explicitement traité au conseil d'administration. Le président de l'ORF, Lothar Lockl, n'a pas été en mesure de faire une déclaration sur les allégations concrètes, mais a assuré que l'ORF est déterminé à se conformer à la loi de l'ORF. Le consultant en médias Peter Plaikner voit un grave problème dans la situation parce que le diffuseur public viole les lois définies. Gerald Grünberger, directeur général du Vöz, a confirmé que les perceptions soulevées et informés de l'ORF que les textes du "côté bleu" étaient trop longs.
La Kommautria de l'autorité des médias est responsable de la vérification de ces violations, mais nécessite une plainte officielle des personnes touchées par les personnes touchées. Jusqu'à présent, l'ORF n'a fait aucune déclaration sur les allégations contre le "côté bleu".
Défis dans la politique médiatique
Ces incidents sont confrontés à un certain nombre de défis dans la politique des médias autrichiens. La Cour constitutionnelle a conclu que les frais du SIG précédents pour les internautes sont inconstitutionnels, ce qui oblige le législateur à trouver un nouveau règlement d'ici la fin de 2023. Cette décision est considérée comme en retard et pourrait avoir des conséquences de grande envergure pour le financement de l'ORF et donc également pour le paysage médiatique privé. Le scientifique des médias Josef Trappel parle pour une taxe de ménage qui n'est pas liée aux dispositifs de réception, tandis que la ministre des médias Susanne Raab vérifie divers modèles.
Conflits entre le soutien à un prélèvement budgétaire par les Verts et les BEA et la proposition du FPö pour un modèle de rémunération ou d'abonnement illustrent les différences d'opinion dans le paysage politique. Le directeur général de l'ORF, Roland Weißmann, a rejeté le modèle d'abonnement parce qu'il craint une perte de frais due à l'écart de streaming.
Compte tenu des discussions actuelles sur le rôle de l'ORF sur le marché des médias et ses effets sur les médias privés, la question de la politique future des médias et ses défis se pose. Les débats sur les restrictions de l'ORF n'ont fait que renforcer la nécessité de réformes dans le paysage des médias et soulevé la question de savoir à quoi peut ressembler une politique médiatique juste et transparente en Autriche.Les développements actuels provoqueront certainement un émoi dans les prochains mois et auront un impact durable sur le paysage des médias. Les discussions sur la loi de l'ORF et son application sont un sujet central qui influencera considérablement la politique des médias en Autriche.