Politique de migration: l'Europe est confrontée à un dangereux test de larme!
Politique de migration: l'Europe est confrontée à un dangereux test de larme!
Brüssel, Belgien - Dans la politique de migration actuelle, la discussion sur les centres de retour et les accords avec les pays tiers bat son plein. Judith Kohlenberger, une experte en migration, souligne que les plans de l'UE pour renforcer les rendements relèvent des défis pratiques considérables. Selon Kohlenberger, il sera difficile de trouver des États disposés à créer des centres de retour comme ils l'espéraient à Bruxelles. La clé de ces accords réside dans la responsabilité personnelle des États membres, et il est peu de perspective de négociations réussies, comme il le souligne. Un point central est qu'une fois que les demandeurs d'asile rejetés doivent être prêts à revenir, mais la réalité pourrait être très différente ailleurs en Europe. Kohlenberger voit également le risque de retour des chemins qui mènent sur la Libye et la Méditerranée, qui remet en question la faisabilité des rapatriements prévus, comme elle le fait dans son interview avec le petit journal
revient dans un contexte international
La tendance à l'externalisation des procédures d'asile dans les pays tiers, comme récemment entre l'Italie et l'Albanie, gagne un voyage. Kohlenberger voit dans ces accords bilatéraux, dont certains sont effectués dans des conditions de type adhésif, mais des problèmes majeurs. À leur avis, le pacte d'asile de l'UE, qui est également destiné à fournir des migrants dans des camps de réception, n'est pas durable et crée une variété de zones grises qui étaient auparavant illégales, mais sont maintenant tracées. À cet égard, l'UE se sent à une frontière étroite, tandis que les aspects fondamentaux du problème de migration sont ignorés, ce qui signifie que la responsabilité est finalement déposée vers les pays tiers, ainsi que le rapporté.
Kohlenberger avertit également qu'un deuxième mouvement d'évasion majeur de l'Ukraine pourrait être imminent si les conditions géopolitiques ne s'améliorent pas. De plus, elle constate que l'Europe subit la pression par diverses crises - comme celles du Soudan - et il est important de prêter plus d'attention à ces régions. Elle conclut qu'en dépit du compromis d'asile nouvellement contenu dans l'UE, les efforts nationaux sur la politique de migration continueront d'être nécessaires tant que des questions fondamentales sur les causes de vol et l'intégration des demandeurs d'asile ne sont pas abordées.
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Ort | Brüssel, Belgien |
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