Meinl-Reisinger demande des sanctions contre Dodik lors du voyage de Sarajevo!

Meinl-Reisinger demande des sanctions contre Dodik lors du voyage de Sarajevo!

Le ministre autrichien des Affaires étrangères Beate Meinl-Reinisher visitera Sarajevo jeudi et vendredi pour rencontrer divers représentants politiques de la Bosnie. Les pourparlers sont prévus avec le ministre bosnia des Affaires étrangères Elmedin Konaković, le haut représentant de Christian Schmidt et du Premier ministre bosniaque Borjana Krišto. Une réunion avec la secrétaire allemande de l'État de l'UE, Anna Lührmann (verts), est également à l'ordre du jour. Une visite à l'UE Force de protection de l'UE à Camp Butmir, où environ 1 000 soldats sont actuellement stationnés, est particulièrement mis en évidence, dont 227 d'Autriche. Cette visite se déroule dans un contexte de tensions croissantes dans le pays, en particulier par les machinations de Milorad Dodik, présidente du pays serbe de la partie de Bukovine.

Dans ce contexte,

Meinl-Reisinger appelle des sanctions contre Dodik, qui est critiqué pour "des violations claires du droit constitutionnel". Les États-Unis ont déjà imposé des sanctions contre elle, tandis que les sanctions de l'UE ont été bloquées en raison d'un veto de la Hongrie. Le tribunal d'État de Bosnie a même émis un mandat d'arrêt international contre Dodik parce que le procureur a ordonné son arrestation pour mépris pour le haut représentant. Dodik lui-même déclare unilatéralement la compétence du pouvoir judiciaire et de la police de l'État central bosniaque pour la Republika Srpska et menace de se séparer.

EUfor et le contexte de sécurité

L'augmentation des troupes de l'UEFOR est observée en réponse aux tensions croissantes dans la partie serbe du pays. L'ancienne représentante de la Bosnie, Valentin Inzko, s'est prononcée pour une présence plus forte d'Eufor, en particulier dans le district de Brčko. Inzko met en garde contre un «apaisement» envers Dodik et souligne que les conséquences pour la destruction de l'État seraient inévitables.

Depuis décembre 2022, la Bosnie a le statut de candidat de l'UE. Une étape importante dans ce processus a été la décision de l'UE de décider de l'inclusion des négociations d'adhésion en mars 2024. L'Autriche confirme leur soutien à l'intégration de la région dans l'UE dans le cadre des "Amis des Balkans occidentaux". Cependant, l'instabilité politique en Bosnie est également menacée par des documents externes tels que le non-papier controversé "Western Balkan-A Way à suivre" qui circule depuis le printemps 2021

le non-papier et ses effets

Ce document propose une réorganisation des Balkans occidentaux selon les principes ethniques, par laquelle les États-nations "ethniquement purs" devraient être formés pour désamorcer les crises. Cela pourrait potentiellement conduire à une situation politique dangereuse. Les suggestions de création de grands pays tels que Groß-Albanie, la Grande Serbie et la Grande Croatie ont été discutées de manière critique dans le passé et ont déclenché une inquiétude. Les experts des Balkans mettent en garde contre un retour aux conflits militaires, tandis que les représentants de l'État, dont le ministre allemand des Affaires étrangères Heiko Maas et le nord de la Macédoine, ont rejeté ces idées comme "menaçant les incendies".

Dans l'ensemble, cette situation montre à quel point la prochaine visite de Meinl-Reisinger à Sarajevo est de promouvoir la stabilité dans la région et de travailler pour la sécurité et l'intégration de la Bosnie dans l'UE. Les défis sont formidables, mais une forte coopération internationale pourrait être la clé d'une solution pacifique.

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OrtSarajevo, Bosnien-Herzegowina
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