Criminels afghans: cinq ans d'interdiction d'entrée après l'expulsion!
Criminels afghans: cinq ans d'interdiction d'entrée après l'expulsion!
Dans une étape remarquable, l'Allemagne a récemment expulsé un délinquant criminel afghan de Rhénanie-Palatinat, qui est associé à une interdiction d'entrée et de résidence de cinq ans. La ministre de l'intégration Katharina Binz, représentante des Verts, l'a annoncé au cours d'une demande parlementaire du groupe parlementaire de la CDU à Mayin. Cette mesure montre des directives claires sur la façon de traiter avec les personnes qui ont commis des infractions graves.
La déportation a eu lieu dans le cadre d'un programme plus large, dans lequel un total de 28 criminels condamnés ont été retournés en Afghanistan fin août. Ce fut le premier fret d'expulsion de l'Allemagne au pays depuis que les talibans ont été saisis. Le recouvrement a été jugé nécessaire par le ministre pour créer un espace pour les personnes qui ont réellement besoin de protection.
Déclaration politique sur la déportation
Le ministre Binz a dit très positivement sur la campagne: "Si vous avez droit à la protection, vous trouverez de l'aide en Rhénanie-Palatinate, pour ceux qui commettent des crimes graves, nous n'avons pas sa place dans notre société." Cela illustre les mesures difficiles que le gouvernement est disposée à assurer la sécurité publique.
L'homme expulsé, un délinquant sexuel, avait été condamné à une peine de prison pendant plusieurs années avant son expulsion. Il est intéressant qu'il n'ait pas été attribué lors de sa détention; Au contraire, sa punition était déjà entièrement signifiée avant que la désignation ne soit effectuée. Cela prouve que le cadre juridique de ces déportations est strictement observé.
Aspects financiers de la déportation
Un autre point dans ce contexte est le soutien financier qui, dans certains cas, est accordé en cas d'expulsion. Selon Binz, la responsabilité de cela incombe à l'administration du district de Bernkastel-Wittlich. Différentes personnes qui sont sans le sou bénéficient généralement d'un argent de 50 euros pour un soutien. En l'espèce, cependant, cela n'était pas nécessaire, car les criminels réduits avaient ses propres ressources financières.
La discussion sur les déportations et les questions de sécurité a augmenté en Allemagne depuis longtemps, en particulier dans le contexte des changements politiques en Afghanistan. Cette affaire soulève des questions sur les critères utilisés pour l'évaluation des dangers et le traitement des criminels de l'étranger.
Pour plus d'informations sur ce sujet et le cadre juridique, l'article sur www.sueddeutsche.de à recommander.
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