FPö avertit: les rapatriés sont-ils des bombes de temps pour l'Autriche!

FPö avertit: les rapatriés sont-ils des bombes de temps pour l'Autriche!

Le secrétaire général du FPö, Michael Schledlitz, exprime une vive critique du retour des retours en Autriche. Il décrit ces gens comme des «bombes à ticking», quel que soit le sexe ou le rôle dans l'État islamique. À son avis, il est irresponsable de ramener des gens qui ont rejoint l'EI. Il exige le retrait de la citoyenneté autrichienne pour ces personnes et décrit les actions de l'ÖVP sous leur ministre de l'Intérieur comme la promotion de l'immigration illégale.

Schledlitz appelle également une loi d'interdiction à l'islam politique et s'exprime pour une "forteresse Autriche" pour assurer la sécurité de la population. Il considère le retour des rapatriés comme une "gifle face aux Autrichiens" et comme une moquerie des victimes d'attaques islamistes. Evelyn T. a également lieu aujourd'hui; Sa garde a été prolongée en raison du risque de criminalité et d'évasion, ce qui a en outre soutenu la situation des risques.

Le retour des combattants en Europe

Le retour des anciens combattants en Europe est un risque de sécurité grave, comme prévoient les experts. Le chercheur terroriste Nicolas Stockhammer souligne qu'après la chute de Bashar al-Assad en Syrie, il y a un rendement incontrôlé des combattants de l'EI. Actuellement, environ 9 000 combattants, dont environ 2 000 étrangers, sont emprisonnés dans des prisons kurdes en Syrie, que la situation continue de compliquer. L'expert en islamisme Guido Steinberg illumine les risques résultant du retour de ces personnes. Un sujet particulièrement explosif est la radicalisation possible des enfants des combattants qui pourraient également revenir.

Selon le ministère autrichien des Affaires étrangères, il y a moins de dix personnes avec la citoyenneté autrichienne dans les camps en Syrie. Il y en a environ la moitié parmi ceux-ci. Le débat sur le retrait de Maria G. et de ses enfants témoigne des défis devant lesquels les autorités sont confrontées à la sécurité de la population.

Risques à long terme des rapatriés

Un aperçu des développements en Allemagne montre que depuis 2012, plus de 970 personnes se sont rendus en Irak et en Syrie pour se battre pour "IS". Environ un tiers de ces personnes sont maintenant revenus. Les retourneurs pourraient être un danger à long terme, surtout s'ils étaient idéologiquement endoctrinés ou formés militairement. De plus, l'EI pourrait cibler les attaques dans les pays occidentaux.

Les autorités de sécurité sont tenues de collecter et d'évaluer des informations sur ces rapatriés afin de prévenir de futures attaques terroristes. La coopération internationale est essentielle car le terrorisme est un phénomène transnational. La région de Schengen facilite la liberté de mouvement, mais représente également un défi pour la sécurité, car l'échange d'informations entre les États membres doit être amélioré.

Pour pouvoir réagir aux défis actuels, il est important que les autorités de sécurité s'adaptent aux nouvelles tendances et s'appuient de plus en plus sur les mesures de prévention et de déradicalisation afin de réduire le potentiel de la scène islamiste violente à long terme. Le débat sur la politique éthique et de sécurité sur le rendement des valeurs et des normes ainsi que sur le traitement du passé reste au point.

Pour plus d'informations sur les sujets des rapatriés et du terrorisme, vous pouvez signaler les rapports de , La presse et bpb Lire.

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OrtWien, Österreich
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