De nouvelles élections approchent : que se passera-t-il si Bleu-Noir échoue ?

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La situation politique en Autriche s'aggrave : Seltenheim critique la coalition FPÖ-ÖVP ; De nouvelles élections semblent probables.

De nouvelles élections approchent : que se passera-t-il si Bleu-Noir échoue ?

Le chaos politique se prépare en Autriche : la coalition bleu-noir, composée du FPÖ et de l'ÖVP, risque d'échouer et de prolonger encore davantage la quatrième formation gouvernementale la plus longue de la IIe République. Le directeur général fédéral du SPÖ, Seltenheim, prévient que cette coalition porte atteinte au pays et porte atteinte à la réputation du paysage politique. "Le FPÖ humilie constamment l'ÖVP", critique-t-il vertement et appelle à mettre fin à cette "tragédie". Cependant, le SPÖ reste disposé à discuter et est prêt à travailler avec d'autres partis démocratiques pour former un gouvernement viable, comme le petit journal signalé.

Un avenir incertain pour la formation du gouvernement

Le FPÖ revendique désormais des postes ministériels cruciaux, comme ceux des ministères des Finances et de l'Intérieur, ce qui complique encore davantage les négociations avec l'ÖVP. Les partis semblent s’éloigner les uns des autres dans leurs positions au lieu de se rapprocher. Cela pourrait avoir de graves conséquences : si le gouvernement échoue, de nouvelles élections pourraient se profiler à l’horizon. Des experts comme ceux de oe24 préviennent que les chances de nouvelles élections augmentent si la coalition bleu-noir échoue, car le FPÖ d'Herbert Kickl agit déjà avec cette menace.

Le SPÖ et le Neos se montrent disposés à négocier, mais le nouveau leader de l'ÖVP, Christian Stocker, a exclu tout dialogue avec le SPÖ. Au sein du SPÖ, on se demande si l'actuel chef du parti, Andreas Babler, est apte à une nouvelle série de négociations. Dans le pire des cas, on pourrait s'imaginer dans un scénario dans lequel le FPÖ soumet une demande de nouvelles élections au Conseil national. Cela laisse la possibilité de former un gouvernement d'experts, même si cela ne serait viable que s'il y avait une majorité au Parlement. La pression sur les acteurs politiques est énorme et le temps presse pour trouver une solution.