Critique du FPÖ : le gouvernement révélé comme le plus cher de l’histoire !

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Le secrétaire général du FPÖ, Schnedlitz, critique le gouvernement comme étant incompétent et coûteux. Les tensions autour des négociations de coalition s’accentuent.

FPÖ-Generalsekretär Schnedlitz kritisiert die Regierung als unfähig und teuer. Spannungen um Koalitionsverhandlungen nehmen zu.
Le secrétaire général du FPÖ, Schnedlitz, critique le gouvernement comme étant incompétent et coûteux. Les tensions autour des négociations de coalition s’accentuent.

Critique du FPÖ : le gouvernement révélé comme le plus cher de l’histoire !

Dans une critique acerbe du gouvernement fédéral, le secrétaire général du FPÖ, Michael Schnedlitz, l'a qualifié de « le plus cher et le plus incompétent de l'histoire ». Lors d'une conférence de presse aujourd'hui, il a qualifié le gouvernement actuel de « perdant », avec un total de 21 postes gouvernementaux. Ces déclarations visent à discréditer la politique du gouvernement, notamment en ce qui concerne le nouveau paquet de charges qui, selon Schnedlitz, fait peser une lourde charge sur les familles et les retraités. Il a fait valoir que le gouvernement d'Herbert Kickl était incapable de proposer de véritables solutions et qu'il détournait l'attention d'autres problèmes pour dissimuler sa propre incompétence.

Les allégations de Schnedlitz font suite à des commentaires critiques sur la taille du cabinet, qui ont été rejetés par le ministre de l'Intérieur Wolfgang Peschorn dans le cadre d'une commission d'enquête. Peschorn a souligné qu'il ne pouvait identifier aucune taille excessive du cabinet et a rejeté les calculs erronés de l'opposition. Il a précisé que le Secrétariat général et le bureau de l'ancien secrétaire d'État Edtstadler ne devaient pas faire partie de son cabinet. Schnedlitz a également critiqué les enquêtes du député Krisper, les qualifiant de "pseudo-preuves" et a affirmé que le secrétariat d'État d'Edtstadler n'était pas imputable à Kickl.

Critique d'Herbert Kickl et fausses allégations

Lors d'un récent débat d'été de l'ORF, Herbert Kickl, président du parti fédéral du FPÖ, a critiqué divers sujets, y compris le président fédéral. Selon profil, la conversation a identifié plusieurs fausses affirmations de Kickl qui n'ont pu être étayées par des experts et des documents judiciaires. Le FPÖ a répondu en expliquant qu'il ne s'agissait pas d'une plateforme de recherche et a recommandé d'élargir l'horizon de la recherche. Dans un autre discours, Kickl a exprimé son scepticisme quant au changement climatique et au passage aux énergies renouvelables et a été critiqué pour cela par les économistes du climat.

Dans le paysage politique autrichien, il devient de plus en plus difficile d'ignorer le FPÖ. Selon le Tagesspiegel(https://www.tagesspiegel.de/internationales/gesprach-uber-regierungsbildung-in-osterreich-darum-ührt-kaum-ein-weg-an-der-fpo-vorbei-12963295.html), après l'échec des négociations de coalition, il n'y a pratiquement aucun moyen de contourner le parti et son président Kickl. Le président fédéral Alexander van der Bellen prévoit de s'entretenir prochainement avec Kickl au sujet d'une éventuelle formation d'un gouvernement.

Développements politiques actuels

L'actuel chancelier Karl Nehammer restera en fonction jusqu'à la formation d'un nouveau gouvernement intérimaire. Van der Bellen s'attend à ce qu'un nouveau gouvernement respecte l'État de droit et les droits de l'homme et des minorités. Cependant, ces attentes pourraient être en contradiction avec les déclarations et le comportement du FPÖ, connu par le passé pour son soutien à la Russie.

La semaine prochaine, il sera décidé s'il y aura un accord entre le FPÖ et l'ÖVP ou si de nouvelles élections seront nécessaires. Les précédentes négociations entre l'ÖVP et le SPÖ, qui ont abouti à une tentative infructueuse d'alliance à trois avec les Neos, n'ont pas abouti à un résultat satisfaisant. Les politologues voient la possibilité que le FPÖ améliore sa position lors de nouvelles élections, ce qui entraînerait davantage d'incertitude dans la situation politique actuelle.